A rattraper dans lequel l’édit
Sonia Patricelli reçoit les auteurs Tahar Ben Jelloun et Gaelle Bélem, dans lequel le container de la 30e roman de la semaine de la Francophonie et de la patois française. Deux entités exceptionnelles dans tourner tout autour de la francité et de la profusion de la patois française.
Tahar Ben Jelloun, grammairien franco-marocain, qui a remporté le récompense Goncourt en 1987, est l’artisan d’une cinquantaine d’pratiques en gaulois. Son trompé, “Ils se sont tant aimés”, la prolongation des “Amants de Casablanca”, vient de comparaître.
Gaëlle Bélem vient, elle-même, de l’île de la Amalgame, son autre parabole “Sud Sauvage”, chrestomathie de treize nouvelles géniaux, paraîtra le 3 avril pendant Gallimard. Elle livre en gaulois et en insulaire. Son volume “Le fruit le plus rare ou la vie d’Edmond Albius” est arraché en blanchit pendant Folio ce appointement de germinal.
C’est en FranePlongée dans lequel les coulisses de l’Académie française