
C’est là-dedans la comédie de la Chambre correctionnelle de Villeneuve-sur-Lot qu’André Azni accomplissait nation, jeudi 20 ventôse, moyennant concorder des faits “d’outrages sur personne dépositaire de l’autorité publique en récidive” représentant en 2022. En l’fortune sur Olivier Damaisin et Farah Hamidani, ex-député Renaissance de la 3e région du Lot-et-Garonne et sa suppléante.
L’perception a été renvoyée au 19 juin, à la sollicité mis en renseignement André Azni quant à “de préparer ma défense car je n’ai reçu la convocation qu’il y a une dizaine de jours”, confirme-t-il. Représentant d’une jonction Harkis locale et mitoyen du Rassemblement territorial (RN), il est poursuivi par la législation moyennant “outrage sur personne dépositaire de l’autorité publique en récidive”. Son arrêt accomplissait programmé ce jeudi 20 ventôse face à le assemblée de abords de Villeneuve-sur-Lot.
Les faits se sont produits le 26 janvier 2022 à l’opposé d’Olivier Damaisin et le 27 mai 2022 moyennant Farah Hamidani. L’antique médiateur Renaissance de la 3e région Lot-et-Garonne, enfoncé aux législatives cette année-là par Annick Cousin (RN), explique : “Ce sont des faits qui se sont produits durant la campagne présidentielle de 2022. À cette époque, il maltraitait tout le monde. Il s’attaquait aux affiches de ceux qui lui étaient opposés, qui exprimait une opinion contraire à la sienne. C’est vrai que j’ai porté plainte à l’époque. Mais je ne savais plus que l’audience devait se dérouler aujourd’hui. De toute façon, Villeneuve-sur-Lot et maintenant de l’histoire ancienne. En ce moment, je travaille à défendre les pruniculteurs. C’est beaucoup plus important”.
Farah Hamidani de “traître” et de “saleté”
Après en garder verbal plus son médiateur, André Azni, retenant intermédiaire communal de la municipalité RN de Perpignan (Pyrénées-Orientales), est que “le fait de passer au tribunal permettra de m’exprimer. J’en suis content. Mon avocat m’a expliqué qu’en période électorale, ce que j’ai pu leur dire rentrait dans le cadre de la liberté d’expression. À cette époque, j’ai traité le député de “Guignol de Macron” et sa suppléante de “comédien” et de “ordure”. Si j’ai traité le député de la sorte, c’est qu’il avait voté une loi contre les Harkis et je lui ai promis de recouvrir systématiquement ses affiches, ce que j’ai fait. Ce procès, on va en faire une affaire politique”.