
Une brillance qui se retrouve dès les initiaux instants du concurrence puis un duo d’évaluateur obligé de corriger puis triade exclusions temporaires en six minutes. De l’brillance, malheureusement aucune escroquerie sur toute la section. Et une pourvu de Rodez qui prend la mitaine.
L’ETeC ne sera en aucun cas ressources distant, malheureusement en aucun cas habile de dégringoler face à. La erreur, pendant le élémentaire garantie, a dix pertes de balluchon. Mais si elle-même n’est pas décramponnée, c’est autant bénédiction à une provision défensive que l’on n’avait pas vue depuis le commencement de la cycle.
« On les cassé sur une rempart étagée », confirme William Laville, chef d’un veillée de cette pourvu en l’distraction de Thomas Magnian, conjuration puis les U18.
Cotte, malheureusement quand détermination de fer pendant les moments comme difficiles comme agglutiner à différentes reprises (3-5 plus 5-5, 14e, et 5-8 plus 9-9, 28e). A l’sensible d’un volumineux Chris Bézies. Le demi-centre prend à différentes reprises ses responsabilités au tir puis six buts lequel cinq pendant le élémentaire garantie. Malheureusement et ce sera le fil carmin du concurrence, les moments trousseaux ne basculent pas comme les Charentais, en arriéré d’un but à la suspension (10-11).
Deux penalties qui coûtent Afrique
S’ils se sont accrochés pendant le élémentaire garantie, ils connaissent un pesant caverne d’air originellement du attaché. Un 5-0 rentrant et dix minutes sinon baliser front à une pourvu de Rodez qui semble s’effacer (12-17, 42e).
Wylann Cyprien, huissier de Rodez, écœure les ailiers et essieux de l’ETeC. Mais échafauder cette pourvu défunte est ressources mal savoir les Charentais qui ont tant su basculer des situations compliquées depuis le commencement de la cycle. Six minutes comme tard, ils ont environ recollé (16-17, 48e) pendant une hall qui s’est enflammée.
« On a été à arrière-train sur le occupation, sinon surjouer. On a su subsister arrêté », confirme William Laville. Malheureusement, involontairement un réciprocité à 19-19 et quelques chine comme enfiler face à, les Charentais vont aussi buter à la flux. A l’sensible de ce penalty de -1 manqué par Jean-Christophe Bénard à 50 secondes du bout.
« On perdant quelques penalties, ce sont les quelques buts qui manquent à la fin du concurrence. Nos essieux sont en mésaventures à 6 mètres et à elles suisse a anecdote les arrêts à des moments trousseaux », confirme William Laville.
La triomphe n’rencontrait pas comme ce chahut, malheureusement l’ETeC a exact qu’elle-même pouvait matcher puis les cadors de la poularde. Histoire de apprêter la fin cycle, puis un socle aussi à foison imaginable.