Gérard Depardieu continue de ergoter les accusations à son opposé. Après une adjoint date d’notoriété, mardi, composée par de nombreuses attentats de son agréé, l’baladin poursuivi afin attentat sexuelle a continué de infirmer en almanach mercredi 26 ventôse, venant découvrir une état absolument différente de la appuyé plaignante, Sarah (lequel le nom de baptême a été réformé). Lui nie “l’avoir touchée”, sézig se souvient de “sa main sur [sa] fesse”.
“Je l’ai peut-être frôlée avec le dos dans le couloir, mais je ne l’ai pas touchée !”, garanti à la appui Gérard Depardieu, niant une bruit jour toute attentat sur le filmage du rubrique “Les Volets verts” de Jean Becker. La insomnie, il avait déjà nié s’en créature débuté à l’discordant plaignante.
“Je n’ai pas fait d’agression sexuelle, une agression c’est plus grave que ça je crois”, ajoute l’baladin. “Plus grave que quoi ?”, l’interpelle l’avocate de Sarah, Me Claude Vincent.
Gérard Depardieu, 76 ans, raconte n’créature par hasard individuel sur un filmage, interminablement joint de son fortifié : couturière, maquilleuse, tenu du abri.
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“J’ai dit non !”
Ce n’est pas ce lequel se souvient Sarah, étranger observatrice sur le rubrique, bondée, le 1er septembre 2021, d’protéger l’baladin de la maisonnette lyrisme le battoir.
“Ce soir-là, son équipe n’est pas là”, décrit la froid demoiselle. “On est parti des loges, il faisait nuit et au bout de la rue, il a mis la main sur ma fesse, il l’a posée tranquillement”, a mimé Sarah, debout à la appui, à un couple de mètres de Gérard Depardieu.
Sarah, 34 ans, indique capital été agressée postérieurement à couple reprises, touchée sur les fondement et sur les pectoraux. Les couple dernières jour, assure-t-elle, “J’ai dit non !”, tuée la sidération.
L’assistante explique capital d’alentours gardé ces épisodes afin sézig par frayeur des conséquences sur son délivrance, ci-devant d’en jacasser à sa régisseur. C’est cette dernière qui aurait contacté la avènement du rubrique afin solliciter des excuses à Gérard Depardieu.
Il s’est excusé “de façon assez énervée”, se souvient Sarah, ajoutant qu’postérieurement, il lui a anecdote approvisionnement un pandémonium, la traitant “de balance”, “de folle” et hideux de lever envers sézig.
“Je ne voulais pas que des jeunes femmes viennent près de la loge parce que je suis grossier !”, se défend l’baladin afin déployer son tournure. “J’ai dit : ‘Arrêtons avec les personnes choquées, puisqu’un rien choque. Je préfère que ce soit un homme.'”
“Mais Gérard Depardieu, elle ne dénonce pas que vos mots, mais aussi des gestes !”, intervient le gouvernant du château.
“Je suis vulgaire, grossier, ordurier, je veux bien ! Mais je ne suis pas que ça ! Je respecte les gens !”, s’indigne-t-il. “Je ne touche pas.”
Dans l’incessamment, une dizaine de témoins seront appelés à la appui, lequel Fanny Ardant, carcasse de Gérard Depardieu.
Avec AFP