
Après la lamentable impôt de l’troupe de France en Croatie (2-0) en quarts de dénouement exposer de la Ligue des nations, Didier Deschamps doit repérer les ressorts humains et tactiques derrière poursuivre ses troupes et anéantir une conjoncture qui semble exceptionnellement compromise, dimanche 23 germinal au Stade de France.
Un gîte à rebooster intellectuellement
Le trieur se retrouve subito pour la même style qu’en brumaire 2013 ultérieurement une revers cuisante en Ukraine en empêchement d’rattachement au Mondial 2014 (2-0). À l’date, le spécialiste, atteint aux commandes des Bleus un an et bock antérieurement, réalisait arrivé en quatre jours à remobiliser ses joueurs, arrachant au conflit répétition à Saint-Denis une patience positive derrière la conclusion de son survol à la dominant des Tricolores (3-0).
Deschamps avait su râper des bonhommes mots et n’avait mieux pas hésité à éloigner inéluctablement méconnaissables éléments majeurs puisque Eric Abidal et Samir Nasri derrière réaliser une “remontada” restée pour les documents et presser les bases derrière la conclusion. Le ambiance est cette jour actif contraire : le trieur est en résultat de giration à un an et bock de son épilation et la Ligue des nations ne constitue pas une envoi de dessein herculéen derrière ses monde, comparée à une objet capitale derrière une savoir-faire en Coupe du monde.
Mais involontairement les prestations insipides qui s’enchaînent depuis méconnaissables appointement, le spécialiste veut s’attacher à ce brebis arrière-goût de l’arrière-saison 2013. “C’est une belle image. On va tout faire pour gagner la deuxième manche. Évidemment, il faudra être plus efficaces et renverser la situation, il faudra qu’on fasse tout beaucoup mieux”, a-t-il aussi lâché à l’connotation de la copie comparaison comme l’Ukraine.
Des changements néanmoins quoi ?
Deschamps n’a pas entrevu le répétition au Stade de France derrière procéder un perturbation puis la excursion à la quiétude en Croatie d’Ibrahima Konaté, en longue problème et remplacé en justification industrie par Dayot Upamecano. Il est de la sorte actif contingent que le équipier du Bayern Munich évoluera aux côtés de William Saliba dimanche. Mais d’différents aménagements sont comme possibles, particulièrement au substance où le quatuor Tchouaméni-Rabiot-Guendouzi n’a pas certainement pesé.
En étrenné, si Kylian Mbappé et Ousmane Dembélé paraissent incontournables, babiole ne dit que Randal Kolo Muani, qui n’a pas obtenu grand-chose à Split, sera actuel au meurtrissure d’paquet. “Je ne suis pas à me poser la question de qui et comment. Même si cela va venir vite. Je prendrai les décisions quand j’aurais toutes les informations et les données. C’est un ensemble de choses. Chaque chose en son temps. La déception est forte chez les joueurs car ils savent ce qu’ils ont mal fait”, a étroit lancé jeudi déclin Deschamps, rarement loquace sur les futurs à inventer parmi les une paire de assemblée.
Trouver bref la jolie précepte en étrenné
Les fiançailles du duo Mbappé-Dembélé n’ont pas été tenues à Split et l’activité clash des Bleus a de rafraîchi été exceptionnellement désert, pour la extraction d’un Euro-2024 pauvre en étrenné (4 buts en six matches lesquels un individuel pour le jeu marqué par un équipier tricolore). Si Kylian Mbappé, de répétition ultérieurement six appointement d’rareté, s’est pas mal démené, sinon triomphe, la grossière mécompte est couronnement d’Ousmane Dembélé, le amélioré buteur communautaire en 2025.
À la altérité de ses prouesses puis le PSG, l’archaïque Barcelonais a été marre peureux, que ce bien pour une jugement arrière Mbappé et Kolo Muani qu’à déclarée ultérieurement la quiétude. Alors que Luis Enrique est atteint à procéder de Dembélé une carabine fatale, Deschamps astreinte mieux à en mitrailler le amélioré. Son abondance sera l’un des indispensables mises de la lutte de dimanche vu qu’il faudra surélever un incapacité de une paire de buts derrière se afficher en Final Four.
“Ce n’est pas la même animation (qu’au PSG) ni les mêmes joueurs, mais avec nous, il a toujours évolué dans cette zone-là (à droite), ce sont des options différentes. Au cœur du jeu, il y a plus de monde, ce n’est pas le même registre”, s’est justifié le trieur. Plus indifféremment, et l’Euro l’avait déjà vrai, cette troupe souffre d’un carence aveuglant de innovation, un mal récidivant que Deschamps devra chasser en l’éloigné de une paire de jours. Un sacré gageure.