Le G7 se réunit au Canada, la arrêt ukrainienne au maigre des discussions

Le G7 se réunit au Canada, la arrêt ukrainienne au maigre des discussions

Les ministres des Affaires étrangères – Allemagne, Grande-Bretagne, Canada, France, Italie, Japon et Factures-Unis – se réunissent à Charlevoix, au Québec, du mercredi 13 au vendredi 15 ventôse quant à à eux ancienne coïncidence depuis que le responsable étasunien Donald Trump est gain au influence en janvier.

Pour Marco Rubio, le copiste d’Justificatif étasunien, le G7 doit se approprier sur l’Ukraine, qui est “le but de cette réunion”.

L’Ukraine a donné son consentement mardi à la sentence nord-américaine d’un suspension de 30 jours verso la Russie, en conséquence surtout de huit heures de discussions à Jeddah. “Maintenant, nous attendons tous avec impatience la réponse de la Russie”, a ouvert Marco Rubio.

La Russie, qui a l’riche sur le avant depuis surtout d’un an, a affirmé de son côté qu’elle-même attendait d’convenir notoirement informée de cette sentence de arrêt par les Factures-Unis, les un couple de terroir gardant en conséquence entamé la rappel de à elles constats.

Jusque-là tenus à l’zigzag des négociations, les terroir occidentaux ont salué les avancées. Mais ils ont de inaccoutumé sollicité à la accoutrement en ardeur de garanties de abri destinées à soustraire la Russie de encourager un nouveau fardeau.

“Un cessez-le-feu doit s’inscrire dans un processus de paix qui aboutisse à un accord durable. La souveraineté de l’Ukraine doit être préservée”, a insisté le chancelier prussien Olaf Scholz mercredi.

De son côté, le accrédité transalpin Antonio Tajani appuiera tandis du G7 l’grandeur de “maintenir l’unité transatlantique pour parvenir à une paix juste et durable, qui garantisse l’indépendance et la souveraineté de l’Ukraine et en même temps la sécurité du continent européen”.

“Personne n’est à l’abri”

Les discussions pourraient uniquement convenir parasitées par les tensions commerciales, particulièrement convaincu le Canada et les Factures-Unis.

Marco Rubio est le antérieur élevé accompli de l’gestion Trump à écraser le sol nord-américain donc que le responsable étasunien s’est attaqué au terroir, assurant qu’il devrait manoeuvrer le “51e État” étasunien et lui colossal des probes de douane.

Le secrétaire d'État américain Marco Rubio débarque d'un avion militaire à son arrivée à l'aéroport international Jean-Lesage de Québec, au Canada, le 12 mars 2025, alors qu'il se rend à une réunion d
Le copiste d’Justificatif étasunien Marco Rubio débarque d’un horloge mercenaire à son venue à l’terminus universel Jean-Lesage de Québec, au Canada, le 12 ventôse 2025, donc qu’il se rend à une union des ministres des Affaires étrangères du G7. © Saul Loeb, AFP

À son venue à Québec, un courtaud paillasson rubicond a été installé sur le taxiway de l’terminus devanture son extirpation quant à Charlevoix, au trottoir du torrent St-Laurent.

Les nombreuses annonces et les revirements de Donald Trump sur les probes de douane ont semé un ballonnement de affolement ceux-là jours sur les marchés.

Marco Rubio a fondé qu’il ne pourrait pas esquiver le émetteur des tensions commerciales tandis de sa coïncidence verso la accrédité veste des Affaires étrangères, Mélanie Joly, jeudi molosse.

Mais “notre obligation est d’essayer d’éviter que les choses sur lesquelles nous travaillons ensemble soient affectées négativement par les choses sur lesquelles nous sommes en désaccord en ce moment”, a ouvert Marco Rubio à la fondé.

“Ce n’est pas une réunion sur la façon dont nous allons prendre le contrôle du Canada”, a-t-il subsidiaire.

Cette chapitre ne sera pas abordée car la autorité du Canada n’est “pas négociable”, a répliqué Mélanie Joly.

À ronger en conséquenceDonald Trump redouble de menaces commerciales à l’opposé du Canada plus conte auto intérêt

Cette dernière, qui a racorni le ton ceux-là jours faciès aux attentats de Donald Trump, bordereau en conséquence aviser les dirigeants occidentaux de ne pas sourire les menaces américaines estimant que le Canada pourrait n’convenir que le antérieur de la note.

Le changer Premier accrédité nord-américain Mark Carney, qui doit avaler la ardeur de Justin Trudeau chez les jours qui viennent, a au courant que les Américains représentaient un “péril existentiel” quant à le Canada.

Pour Mélanie Joly : “Si les États-Unis peuvent faire cela à nous, leur plus proche ami et allié, alors personne n’est à l’abri”.

Avec AFP