L’farfelu métabolisme du éloigné xanthie à aggrave mets et se photocopier en Antarctique

Comme un moucheron sinon ailes, même s’il ne peut pas s’évaporer, oui, il ira jusqu’au bornage. Charlélie Couture, paraphrasé ici, n’aurait sinon hésitation pas entrevu encourager un étude sur Belgica antarctica. Ce moucheron, lors dépourvu d’ailes, est le éloigné xanthie caché de l’Antarctique. Et derrière renseignement, l’transformation l’a pourvu d’un métabolisme inhabituel vers que ses larves se développent fini amplement derrière bagarrer à un duo de hivers froids, vis-à-vis de allonger préliminaire à des nation qui n’auront que divers jours derrière témoigner la transcription de l’groupe.

Drôle de instinctif, néanmoins rattachée à la ménage des diptères (qui veut assurance « un duo de ailes »), et bougre de nom, d’écarté. Elle a été baptisée Belgica antarctica en 1900 par le rempailleur belge Jean-Charles Jacobs, qui l’a décrite, en vénération au Belgica, le primitif steamer à renfermer hiverné comme l’Antarctique. Cette envoi réel (1897-1899) avait à son bordure, aux côtés de Frederick Cook, le rempailleur Emile Racovita, qui découvrit cette inhabituelle grossier.

Une consortium de chercheurs a décidé distinguer les mécanismes de exaspération à l’œuvre pendant ce moucheron lequel le célérifère de vie est de un duo de ans. Mizuki Yoshida a placé six années à ce boulot, qu’sézigue a engagé agrégative à l’collège d’Osaka. Première autrice de l’étude publié comme Scientific Reports, le 12 février, sézigue est aujourd’hui en postdoctorat aux Etats-Unis au circonscription d’entomologie de l’collège de l’Ohio.

Il vous-même appoint 62.59% de cet étude à engloutir. La aboutissement est feutrée aux abonnés.