Il est “l’un des sportifs les plus stylés du monde”, subséquent son collègue de l’pourvu de France Aurélien Tchouaméni. Le collatéral de l’pourvu de France et du FC Barcelone, Jules Koundé a récit de ses arrivées à Clairefontaine un des moments incontournables des trêves internationales. Le apparence qu’il arbore à ses apparitions est immanquablement regardé et le privation personnalité dominé jusqu’au biotope de la événements verso son outrecuidance et ses assemblages contraires.
“Ibou (Konaté) veut le trône, mais on sait qui est le boss”, détroit Ousmane Dembélé en désignant Koundé donc de l’annonce “The Bridge” mobile par Tchouaméni sur YouTube. Pour l’données, le Barcelonais matière un chandail vintage du FC Sochaux des années 1980.
Le lunette où Koundé a commencé au mini-défilé du attachement d’modèle de Clairefontaine “en crop-top et en jupe, il avait gagné, c’était fini”, s’plaisanté “Dembouz”.
Fair-play, Ibrahima Konaté s’incline pourtant ne s’avoue pas fugitif. “Jules a commencé un peu fort sur cette voie, lâchait-il dans un sourire en juin 2024. “Maintenant, on va commencer de le éclipser”.
Cette arrivée du lundi aux débuts des rassemblements des Bleus est désormais scrutée bien au-delà du monde du football, les joueurs eux-mêmes la surnomme “la chic week”.
“J’ai conscience que maintenant les gens sont impatients et se demandent si je vais être excentrique”, sourit Koundé. Il s’est présenté flux à flux verso une lavallière pamplemousse sur un blouse de courroie et des chaussures à talons ou actif en assortissant des moon bottines verso une salopette en pantalon et un association polaire-bob jaunâtre sanve, des clichés dévorés par ses 4,6 millions de suiveurs sur Instagram.
“Quand c’est Jules, tout passe”
Le éclairé ELLE lui a même sacré une association: “Le style de Jules Koundé en dix clichés”.
“Quand c’est Jules, tout passe. J’ai fait du shopping avec lui : moi je n’ai rien pris, lui il a tout pris”, s’esclaffe Dembélé.
“Quand on l’a shooté pour GQ, c’est une des plus belles séances de ces dernières années, raconte le chef de la rubrique style, Adrien Communier. On était face à quelqu’un qui se prêtait au jeu, qui avait envie de repousser les limites.”

Et l’arrière-droit des Bleus a un posture affirmé. “À la cérémonie des hommes de l’année 2023 de GQ France, poursuit le journaliste, il portait une pièce ‘Comme des garçons’, la marque ne lui avait pas prêtée pour s’habiller le soir, c’était ce qu’il avait dans son armoire”.
Le compétiteur confirme qu’il adore “digger”, c’est-à-dire miner les tonneaux uniques. “Ca participe à la déconnexion, développe-t-il, c’est une des choses que j’aime faire dans mon temps libre. Faire des recherches, me documenter sur la mode… C’est une de mes passions”.
Il met même la pogne à la tablette: il s’est apparenté à Homies from Paris (HFP), du vedette Oscar Goba Noël. “J’ai toujours voulu avoir ma marque de vêtement, m’occuper des designs, des coupes, discuter…” explique-t-il.
“Un goût très prononcé”
“Il y a du marketing, il y a sans doute des accords avec des marques que j’ignore, mais on sent qu’il va chercher ses pièces dans différentes maisons. Il a un goût très prononcé”, envisagé Marie-Laure Gutton, inspecteur de l’montre “Mode en mouvement” au Palais Galliera à Paris.
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“C’est de bon goût, il est très actuel et il a des références”, démiurge Maï Jarach, privation designer de 21 ans qui a particulièrement carré des tonneaux à disparaître de maillots de foot “upcyclés” (transformés et revalorisés, ndlr).
Pour Koundé, “la seule personne qui doit être contente de la manière dont elle est habillée, c’est toi. Le reste, on s’en fiche. Même si c’est évidemment sympathique de pouvoir être complimenté”.
Le “sapeur” des Bleus a même répondu aux décisifs de divers commentateurs du foot qui parlaient de “cirque” et de “déguisements” opportunément des arrivées des universels à Clairefontaine.
“Enfin, messieurs, il ne faut pas vous emporter de la sorte pour si peu, a-t-il écrit sur X. Le prochain rassemblement c’est promis on arrivera tous avec le survêtement, les crampons aux pieds”.
Au abondance conformément, en brumaire il existait arrivé en doudoune des Bleus de l’Euro-1992, survêt’ et crampons, par autodérision.
Le FC Barcelone contre a essayé de le empêcher en vénérable à entiers ses joueurs d’rejoindre en habit du canne. “Mais on trouve toujours des moyens” détroit Koundé, qui “défile” désormais… puis les matches, escorté d’un photographe, et édité ses clichés. Comme un archiduc.
Avec AFP