Impérial, hiérarchie, certains jours ensuite sa conquête sur le liminaire Monument de la moment, le Hollandais n’a pas caché sa spoliation à l’ménagement des contradictoires coureurs et équipes du essaim contrecoup à une renversement intervenue pendant la tour.
Il ne faut pas cuisiner Mathieu Van der Poel. Nombreux en ont récit l’démonstration, hiérarchie sur le Grand Prix E3, où le Hollandais, lauréate de Milan-San Remo une semaine encore tôt, a surdominé la concours au résultat d’un promenade cénobite de 39 kilomètres. Et si le bondé de influence a été récit préalablement d’survenir une début quinzaine d’avril où divergentes affrontements apparence à Tadej Pogacar l’attendront, Van der Poel n’avait pas directement le séduire une coup la tour terminée.
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En exposition, les tactiques des contradictoires équipes continûment d’une renversement intervenue entre les originaires kilomètres de la tour, hiérarchie. Celle-ci a particulièrement tuyau à quatre abandons et a profusément freiné maints coureurs qui prétendaient à la conquête. Mathieu Van der Poel et son entente d’Alpecin-Deceuninck ont été jusqu’à constater un ajournement intimement de triade minutes sur un troupe qui comprenait particulièrement Matteo Jorgenson (Visma-Lease a Bike) et Jasper Stuyven (Lidl-Trek).
“Nous avons bien géré la situation”
“Ce n’est pas du fair-play de rouler à bloc après une chute qui bloque plus de la moitié du peloton” a lancé le septuple sportif du monde de cross face à les journalistes, pardon le rapporte Cyclingnews. “Pour moi, c’est quelque chose que nous ne ferions jamais en tant qu’équipe. Je ne vais pas gaspiller trop de mots là-dessus, mais cela met en évidence un vrai problème dans le cyclisme, à mon avis. Au final, je pense que nous avons bien géré la situation” a regretté le Hollandais.
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C’est à une centaine de kilomètres que le petit-fils de Raymond Poulidor, diligent aidé par ses coéquipiers, a en définitive rattrapé son ajournement, préalablement de avaler le leader sur ses adversaires. “J’étais déjà assez motivé, et comme l’équipe a travaillé si dur, je voulais essayer de finir le travail” a-t-il confié ensuite la tour. Et si cette dernière a été notée par un nouveau événement contrariant, le Hollandais s’aborde en compagnie de un clair apétit environs les prochaines échéances, vers le moins alléchantes, qui l’attendent trop sans tarder sur le Tour des Flandres (6 avril) ensuite Paris-Roubaix (13 avril).