Allure bagarreuse
« Vous arrivez entre à nous région, toi-même respectez à nous hégémonie » : c’est une pari en entretien d’une rare courage que Mélanie Joly, la émissaire des bizness étrangères vareuse, a adressée, le 12 ventôse, à son autorisé étasunien, Marco Rubio, auparavant même qu’il ne recherche un panard au Canada avec une agglomération antérieur du colloque du G7, attendu mi-juin entre le région. Un admonestation plein semblable engageant, avec marteler au responsable de la discernement nord-américaine que le Canada ne mémoire pas se sacrifier déranger par les menaces répétées de Donald Trump de conduire de son limitrophe le 51e Etat des Etats-Unis. Tenue marron, chic bagarreuse : Mélanie Joly, 46 ans, affichait déjà son légion de cheffe de désaccord bandoulière de l’ex-premier émissaire Justin Trudeau le 4 ventôse, comme il annonçait la répartie vareuse aux latitudes de douane américains, une désaccord commerciale qu’miss qualifie de « intimidation ontologique ».
Loyauté contre-poil Justin Trudeau
Passée par contraires ministères auparavant d’habiter celui-là des bizness étrangères, Mélanie Joly a survécu à complets les remaniements de l’ère Trudeau depuis une décennie. Appartenant à la entretien rapprochée de l’ex-premier émissaire, miss a suivi son responsable pour générosité quand le leadership de celui-ci accomplissait agité au corsage de son adéquat absent, le Parti obligeant du Canada (PLC). En décembre 2024, le New York Times lui consacrait un reproduction encomiastique, la rencontrant également sa « crédible successeure ». Mais miss a en définitive renoncé à se débuter entre la expédition, avec affirmer Mark Carney, ex-gouverneur de la Banque du Canada alors de la Banque d’Angleterre, leader de la duel au corsage du PLC. Qui, le 14 ventôse, confortait l’inchavirable émissaire à son e-mail.
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