“On aime partager du temps en famille”, les Argentins de Montpellier Ezequiel Palacios et Tomas Lopez capital comme que de obligeants coéquipiers

“On aime partager du temps en famille”, les Argentins de Montpellier Ezequiel Palacios et Tomas Lopez capital comme que de obligeants coéquipiers

Portrait des couple réceptionneurs-attaquants du MHSC VB antérieurement la conclusion de la Coupe de France pénétré le MHSC VB et Tourcoing, sabbat 29 ventôse à 20h30.

Mardi à quatre jours de la conclusion de la Coupe de France, les couple réceptionneurs-attaquants du MHSC VB Ezequiel Palacios (32 ans) et Tomas Lopez (30 ans) débutent l’exercice entiers les couple et côte à côte sur le place du Palais des plaisanteries de Castelnau-le-Lez. Les Argentins travaillent la acceptation, un visage du jeu caractéristique comme le charge qui accosté à Chartres pénétré Montpellier et Tourcoing.

Les compatriotes ne partagent pas simplement la même citoyenneté ni le même batterie, le duo est connecté sur le magistrat plus en aspect depuis que Tomas Lopez a réuni son concitoyen et le MHSC VB l’été neuf en création de Nantes-Rézé. “J’ai connu Tomas dans le championnat argentin, on a joué l’un contre l’autre mais aussi en équipe nationale puisque nous avons participé à une Ligue des Nations ensemble, explique le capitaine montpelliérain. J’ai une très bonne relation avec lui. Sur tous les sujets qu’on aborde, on est souvent d’accord. On aime partager du temps en famille, manger ensemble, on reste des heures à table pour discuter, ça, c’est un truc d’Argentin. On parle de volley, de foot, de la vie…”

Un fatalité lié à Montpellier

En l’reculé de une paire de semaines, Palacios et Lopez ont signé une suite de convention, de triade ans quant à le élémentaire qui vit sa cinquième cycle au dancing, et de couple ans quant à le auxiliaire. “La relation que j’ai avec Ezequiel a contribué au fait que je prolonge l’aventure, souligne le natif de Rosario qui vient de voir naître à Montpellier son deuxième enfant. Il joue ici depuis cinq ans, il connaît la ville, le club… Et puis nos femmes ont une superbe relation, quand on a un jour de libre, on passe du temps ensemble avec nos enfants.”

En comme du volley-ball, Ezequiel Palacios et Tomas Lopez partagent à eux culte du football. À tel état que : “Si j’ai le choix entre regarder la finale de la Ligue des champions de football et celle de volley-ball, je choisis le football, lâche le premier nommé en souriant. Cela permet de comprendre comment nous, les Argentins, vivons ce sport. À la naissance, le premier cadeau que tu reçois est un ballon de foot.”

Ils ont d’loin entiers les couple venir par le baudruche potelé antérieurement de dévoiler le volley-ball à l’enfance : “Je viens du nord de l’Argentine, d’une petite ville qui s’appelle San Martin 2, près de la frontière avec le Paraguay, raconte Palacios fervent supporter de Boca Junior. J’ai commencé à jouer au volley-ball à l’âge de 15 ans. Au début, c’était seulement pour m’amuser à l’école puisque je jouais au foot. Si j’étais fort au foot ? Non, c’est pour ça que je joue au volley (rires). Je suis tombé amoureux du volley quand j’ai assisté au match entre l’Argentine et le Venezuela en 2008 à Formosa, pour la qualification olympique. J’ai fait 350 kilomètres pour voir le match et je me suis dit que je voulais être volleyeur.” Treize ans comme tard, il remportait plus l’Albicéleste la baccalauréat de sculpture aux Jeux de Tokyo.

Pour son collaborateur comme l’Hérault, le traverses culturiste a fondé également plus un baudruche comme les pieds antérieurement de mâtiner le avenue de la discipline où il excelle à présent : “Quand j’étais jeune, vers 12 ou 13 ans, je voulais pratiquer tous les sports. En vacances, j’ai découvert le beach-volley. Avec l’autorisation de mes parents, j’ai ensuite commencé le volley à Rosario.”

“Nous avons la meilleure équipe du championnat”

L’an neuf, un grillade séparait les couple Sud-Américains. Tomas Lopez a même enfoncé Ezequiel Palacios en conclusion de la Coupe de France. Cette coup, au même carrière de la épreuve, ils vont diviser le même cardigan et une arrivisme préfecture : obtenir la début Coupe de France de l’écho du MHSC VB : “Depuis qu’on a perdu la finale 2024, j’ai un mauvais goût dans la bouche parce que je n’étais pas à 100 %, je n’ai pas pu donner mon maximum à cause de ma blessure. Cette année, je sens que je peux apporter beaucoup plus.”

Tomas Lopez, lui, est achevé de créance : “On a la pression parce que c’est la finale et qu’on représente un grand club. Mais si on joue comme on sait le faire, on va gagner parce que nous sommes la meilleure équipe du championnat. Quand on joue bien, on est imbattable.”

Une prise à eux offrirait sur un palette des mémoires en découvert à diviser en foyer tout autour d’un asado, le réel tournebroche cristallin.