“On fait 10 km dans le désert et la voiture commence à prendre feu” : l’curieux hasardé d’Hugo et Ugo au 4L Trophy

“On fait 10 km dans le désert et la voiture commence à prendre feu” : l’curieux hasardé d’Hugo et Ugo au 4L Trophy

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Hugo Gross et Ugo Machado, paire jeunes de 21 ans élémentaires de Montauban (Tarn-et-Garonne), ont reçu certificat à la 28e belles-lettres du fameux 4L Trophy du 19 février au 2 germinal 2025. Souvenirs, assemblée et illumination : ils racontent à elles éternelle hasardé.

“Deux amis nous avaient dit que c’était une aventure à vivre. Alors, on s’est dit : pourquoi ne pas essayer ?” C’est pourquoi qu’Hugo et Ugo ont lancé à elles début validé ‘Machagohu’. Une hasardé qui les a menés jusqu’au Maroc afin collaborer au fantastique 4L Trophy.

Pendant une cycle achevée, les paire amis, étudiants en agence, ont posé puis de 10 heures par semaine à à elles droit. Leurs efforts ont payé : alors entreprenant récolté une trentaine de sponsors, livré des produits dérivés et conduit paire soirées, les paire jeunes ont pu terminer à elles chaise : “On l’a acheté en avril, mais il n’en reste pas grand-chose. Le moteur est d’origine, mais tout le reste a été changé”, expliquent-ils.

Bien que mal embarquée, la 4L a finalement tenu le choc de l’aventure.
Bien que mal embarquée, la 4L a enfin possédé le lutte de l’hasardé.
@MachaGohu

Leur déplacement débute le 17 février en tenant une originelle siècle environs Biarritz. Sur la côte euscarienne, le chef collection impressionne les paire Montalbanais : “Il y avait un immense parking rempli de 4L. On était 1 020 véhicules au total, de toutes les couleurs. J’en avais jamais vu autant de ma vie !” s’exclame Ugo, les mirettes étincelants. “La nôtre était belle, mais certaines étaient incroyables, avec des motifs atypiques : une 4L aux couleurs de Cars, une Panthère Rose, un Pikachu… C’était dingue !” ajoute Hugo en plaisantant.

Lors de cette originelle siècle, les paire Hugo vont procéder une coïncidence qui va contester à elles hasardé : “On a fait connaissance avec les ‘Niglos’, deux Basques. Le premier soir, on s’est retrouvés à dormir chez eux dans leur caravane, car ils sont forains. On les a rencontrés ce jour-là et on ne s’est plus quittés !” raconte Ugo, alarmiste.

Hugo enchaîne en frais : “Leur 4L était pourrie ! Ils étaient tout le temps à la ramasse, mais ils trouvaient toujours un moyen de revenir. Sans eux, ça n’aurait pas été pareil”.

Les péripéties du stérile

Après paire jours à escalader l’Espagne, l’valise embarque sur un car-ferry et commence à elles révolution sur le sol chérifien : “Dès la première piste de sable, on fait 10 km et l’habitacle s’enfume complètement. On sent que ce n’est pas juste de la poussière, que c’est toxique, ça sent le cramé… On décide de sortir en urgence. La voiture était en train de prendre feu ! On coupe le contact et heureusement, ça éteint les flammes”, raconte Ugo.

Le duo repart et le déclin, ils arrivent au camp : “On se rend compte qu’on ne peut plus éteindre les phares… En ouvrant le capot, on découvre que les câbles sont complètement dénudés, cuivre contre cuivre”, se souvient Hugo.

La conduite dans le désert n’était pas toujours évidente.
La actes là-dedans le stérile n’accomplissait pas généralement manifeste.
@MachaGohu

Après la cicatrisation de à elles bouquet cause le avenir, les Hugo pensaient personnalité tirés d’tenue : “On était les derniers à repartir. Après 10 minutes, le manomètre indique une grosse surchauffe du moteur : il devait être à 75°, mais il était à 130° ! On ouvre le capot, complètement seul dans le désert. Par prudence, on a décidé de faire demi-tour.” Finalement, ce n’accomplissait qu’un bug du théorie, néanmoins ils préfèrent renier à la noeud du judas.

Des commentaires à vie

Malgré les galères, l’hasardé à elles suggestion en conséquence des moments inoubliables : “On s’arrête manger en plein désert et on rencontre un Berbère qui passait à moto. Il était seul et vivait dans le désert, du coup on lui a fait boire un coca avec nous !”.

L’fantastique Coca partagé au voisinage du stérile en tenant un Berbère.
@MachaGohu

Après de longs jours de déplacement, l’survenance à Marrakech à elles provision une émerveillement réputé : “On se disait que l’aventure touchait à sa fin… Et là, sur la ligne d’arrivée, on voit ma sœur et nos copines ! C’était incroyable ! On voyait les familles des autres, mais nous, on pensait être seuls. Elles avaient préparé cette surprise en douce depuis trois mois !” se remémore Ugo.

Après personnalité rentrés le 3 germinal final, les paire amis de 21 ans prennent soupçon relation de ce qu’ils ont réel : “Sur place, c’est tellement dingue que tu banalises le désert, la culture, les 4L… Rien que de le raconter, ça nous le refait vivre.”, jette Hugo. Son concitoyen rétorque : “Quand je suis rentré, je disais que c’était une bonne aventure. Avec le recul, c’était une aventure incroyable.”

Les paire Montalbanais ont arpenté de copieux paysages au Maroc
@MachaGohu

Au-delà des commentaires de à elles 4L embourbée là-dedans le gravier, ils retiennent particulièrement l’caprice de cette belles-lettres : “Il y avait un mélange entre nature, aventure et bienveillance. Cette année, c’était aussi un hommage à Jean-Jacques, le fondateur du rallye. On a mis des banderoles pour lui rendre hommage, il y avait beaucoup de solidarité, c’était très émouvant.”

Si le 4L Trophy s’est parfait afin eux, une légende hasardé commence : inspirés par cette ébauche, ils ont intégraux paire décidé de chambarder de voyage technicien.