
L’un des dirigeants du night-club landais l’Avidité Chalossais réagit aux accusations de ségrégationnisme contre-poil une basketteuse lot-et-garonnaise, portées sur quelques de ses supportrices.
“Ce sont tout sauf des faits avérés”, fixé inflexiblement Emmanuel Barrouillet, l’un des représentants du night-club de basket landais l’Avidité Chalossais. Pour allusion, dimanche 23 germinal à Poyartin chez les Landes, tandis d’une affaire de nationale 3 ennemi l’doté féminine de l’AC2B à celle-là de l’Avidité Chalossais, une basketteuse lot-et-garonnaise, Ndiathe MBengue, aurait été dépouille d’insultes racistes prononcées par quelques supportrices de l’doté maître.
Si Brayan Gutierrez, coupé de l’AC2B indiquait hiérarchisation chez nos colonnes que différents abattis du commun et de son doté affirment capital conclu les conférence lancés par les spectatrices chalossaises, Emmanuel Barrouillet lui, prétend le rival. “Étant responsable de salle, j’étais à l’opposé du terrain quand les faits se sont produits. Je n’ai rien entendu, ni la dispute, ni les insultes. Par la suite, j’ai sondé des gens qui se trouvaient autour, personne n’a entendu les propos que l’on nous prête. Si l’on prend une personne neutre, comme l’arbitre qui se trouvait entre les deux joueuses, il n’a pas entendu non plus alors qu’il se trouvait tout près. Je ne dis pas que ces mots n’ont pas été prononcés, mais de mon côté, ce sont les témoignages que j’ai recueillis”, appuie-t-il.
Une originelle responsable du night-club landais serait résultat
L’une des quelques personnalités qui serait à l’primeur des insultes n’est d’distant pas tierce à Emmanuel Barrouillet. “C’est une ancienne dirigeante du club. Je la connais bien. Jusqu’alors, il n’y a jamais eu de tel incident la concernant. Je ne vois pas du tout cette personne employer ce type de langage”, confie celui-là. “Ce qui me dérange c’est que l’on salit l’image de l’Élan Chalossais pour des faits qui ne sont pas avérés et qui ne concerne pas une personne faisant partie du club”, regrette-t-il.
Un bénéfice d’lutte, rédigé au issue de cette affaire par le night-club lot-et-garonnais a été mis imprégné les mains de la ligue française de basket-ball (FFBB). Il permettra, aux termes d’investigations, de dire les responsabilités des uns et des distinctes et d’châtier, si des conférence racistes ont assurément été proférés, une correction.
Dans ce cas, Emmanuel Barrouillet saura annexer les mesures importants. “Si jamais cela était vrai, je proposerais que cette personne soit interdite de nos salles, de notre public. Nous aussi nous avons, dans nos effectifs, des personnes de différentes nationalités, nous ne voudrions pas que cela leur arrive. C’est tout sauf ce que l’on cautionne”, promis le gérant landais.
Quant au vacance “tribunes vides”, un engin mis en œuvre par son night-club vers attaquer quant à les incivilités des supporters, icelui aurait bel et affairé été respecté auprès la assemblée de audience chalossais le 23 germinal à Poyartin, comme l’lutte s’est résultante. “Ceci ne concerne pas cette catégorie de joueurs. L’action “tribunes vides” concernait les championnats départementaux des catégories U9 à U18. Ceci a été respecté. D’ailleurs, une personne du comité était désignée, pour chaque secteur géographique, et faisait le tour des salles pour vérifier qu’il n’y avait aucun public”, promis Emmanuel Barrouillet.