
Claire Lapeyronie et Christophe Antunes, conseillers municipaux comme l’rivalité à Pont-Saint-Esprit, ont donné chahut 29 ventôse une séminaire de abondance dénonçant ce qu’ils estiment essence des contre-vérités de la masse.
Près d’un an postérieurement bien retiré son baudrier, l’ex substitut de Pont-Saint-Esprit, Claire Lapeyronie, et son colistier de la note d’rivalité Pont d’accueil, Christophe Antunes, ont guidé chahut 29 ventôse une séminaire de abondance moyennant concorder à ce qu’ils jugent essence des “fake news” diffusées par la masse municipale.
“C’est une petite musique qu’on entend en ville. On veut démonter les mythes urbains autour de Claire Lapeyronie” explique le instigateur communal. “On a suffisamment laissé dire des choses inexactes, on veut les clarifier et on a pour ça des documents. C’est le moment de parler” à cinq jours du homme palabre communal où va essence voté le moyens. Le 2 avril, les opposants entendent en fruit affaisser exagérer les pièges sur “notre gestion qui aurait été calamiteuse. Ce n’est pas vrai de dire qu’il n’y a plus d’argent dans les caisses” proteste Claire Lapeyronie.
“La ville doit rembourser l’achat du terrain du collège à l’EPF”
“Le compte administratif, qui sera présenté le 2 avril, montre un excédent de 6,2 millions d’euros. L’an dernier, mon équipe a voté un budget qui a montré une excellente santé financière pour Pont. Mercredi, avec les chiffres, ce sera clair !” promet l’ex dédicace conseiller municipal. La ordinaire serait ainsi en disposition de corrompre le occasion du éventuel université et du conservatoire, moyennant la fondation lesquelles le Canton met 40 millions d’euros. “Quand le maire Valère Segal déclare qu’on n’a pas l’argent, c’est faux. Et la ville doit rembourser 3,1 millions d’euros avancés par l’EPF (établissement public foncier) pour l’achat du terrain, dont elle est propriétaire depuis décembre 2023. Cette somme n’est pas inscrite au budget 2025 qui sera voté mercredi, donc ce budget est illégal” espéré Christophe Antunes.
De l’ressources et de “fake news“, il en est davantage partie moyennant les paire élus relativement à la amélioration du succession. “Le reste à charge pour la ville pour la rénovation de l’escalier Saint-Pierre est de 417 000 euros car on a eu des subventions, ça n’a pas coûté un million d’euros à la ville !” s’inscrivent-ils en inventé.
Et de ressurgir sur le mécanisme Ma Land Ma constitution, que Claire Lapeyronie allait “signer à l’automne 2024” si lui-même incarnait restée aux costume, moyennant fixer paire médecins généralistes employés par la Land à l’ambulance. “C’est une fake news de dire que ce dispositif ne marche pas. Partout où il a été mis en place en Occitanie, ça fonctionne” assure celle-ci qui est encore mentor régionale.
“Si Valère Segal avait signé, les médecins seraient déjà là et en disposition de conduire des patients, regrette Christophe Antunes, le substitut préfère affaisser survenir des médecins larges, simplement les paire auraient pu essence faits en même climat”.
“Claire Lapeyronie n’a pas fait partir les médecins !”
Toujours sur le enclin querelle du éloignement obscurcissant de médecins comme cette ordinaire de 11 000 habitants, les opposants reviennent sur le extraction de paire médecins à Goudargues. “C’est une légende de dire que Claire Lapeyronie les a fait partir. Leur projet de monter un cabinet médical, dans un secteur sauvegardé soumis à des règles d’urbanisme, n’a pas abouti. Il n’y a jamais eu de permis de construire déposé” rappellent-ils. “On a tous les documents pour le prouver”.
En promeneur en reçu ces dossiers, Claire Lapeyronie et Christophe Antunes en sont persuadés, “Ce qui est en train de se passer c’est une dégradation des relations de confiance entre Pont et ses partenaires”.