Procès des geôliers présumés de l’EI : Nemmouche assume abstraction un “terroriste” et ne s’en “excusera jamais”

Procès des geôliers présumés de l’EI : Nemmouche assume abstraction un “terroriste” et ne s’en “excusera jamais”

Dans ses derniers mots à son damnation à Paris vendredi 21 ventôse, le “terroriste” autoproclamé Mehdi Nemmouche n’a pas matérialisé les ex-otages lesquels il est imposé d’bien été le conservateur en Syrie en 2013, se lançant de préférence entre une prolixe factum anti-Occident.

La procession d’cassation singulière rendra son aphorisme en fin de date “pas avant 18 h”, a annoncé le administrateur, Laurent Raviot, antérieurement de fixer l’renommée.

Avant ceci, il a donné une dernière coup la aphorisme aux trio accusés présents – une paire de disparates, présumés morts, sont jugés en à eux inattention.

Mehdi Nemmouche se lève subitement entre le box, périodiques précis, si pressé de causer qu’il mange un mot sur une paire de boucle les premières minutes.

Pendant ce paye de damnation, il a garanti n’bien réuni l’combinaison Balance mahométan (EI) que quant à y bagarrer le autocrate syrien Bachar al-Assad, et n’bien par hasard rencontré les quatre journalistes métropolitain qui l’ont eux spirituellement exact.

À tourmenter autantOtages métropolitain en Syrie : à son damnation, Mehdi Nemmouche prétend ne pas bien été le “geôlier”

Pas un mot à ce objet entre ceux-là mots, pas un mot non surtout sur la emprisonnement incendiaire à éternité requise parce que lui (il a déjà été empêché à la même contravention quant à l’sacrilège du muséum israélite de Bruxelles en 2014, où il avait anéanti quatre créatures).

“Le temps, il passe à une vitesse vertigineuse. Cela fait longtemps que je suis à l’isolement mais je navigue sans difficulté, je ne perds pas le cap”, hallebarde l’imposé de 39 ans, pantalon, chemisette noire, ébarbé étroitement.

Toujours d’un créance ultra agile, boucle une quinzaine de minutes, il multiplie les citations et références – Nietzsche, Montaigne, Georges W. Bush, Staline, Roosevelt, Poutine… – quant à s’en annexer “à l’Occident”, et surtout principalement aux Bordereaux-Unis : “Daesh, à côté, c’est un petit joueur”.

“Je me suis amusé par appétit à immobiliser la compte des concitoyen envahis par les Bordereaux-Unis“, lance-il spécialement. Sourire en lopin, identique sûr de son portée, il histoire remplacer son nomenclature en l’air en originel à les appeler, en ponctuant de souvenirs – “un de mes favoris”, là “il y a une anecdote géniale”.

“Le sang sur ses mains n’est pas encore sec”

Levant guère les mirettes, il en vient en conséquence à la Syrie quant à deviner que “c’est par le terrorisme que le peuple syrien s’est libéré de la dictature”. “Oui j’ai été un terroriste et je ne m’en excuserai jamais, je ne regrette pas un jour, pas une heure, pas un acte”, lance-t-il. Et “aujourd’hui, si j’étais dehors, j’irai dans les ruines de Gaza car c’est le lieu où il faut prendre les armes. Mais je ne peux pas car je suis en prison. Je serai toujours debout, je ne serai jamais à terre, voilà”.

Il en a exécuté. “Bien”, dit le administrateur qui l’a écouté l’air froidure, ne frime pas impressionné. Les parties civiles entre la morceau ne le semblent pas non surtout.

Il y a spécialement Bethany Haines, l’une des filles de l’caritatif David Haines, un captif anglais massacré par l’EI entre une déguisement en querelle chagrin, à jointures en tailleur citron, filmée quant à des images de annonce qui ont histoire le variation du monde.

Et Radwan Safar Jalany, un ex-otage syrien. Mehdi Nemmouche “oublie que 95 % des victimes de l’EI sont syriennes. Je suis l’une d’entre elles. L’État islamique n’est pas venu en Syrie pour combattre Bachar al Assad mais pour combattre tout le monde, pour créer leur califat”, recadre-t-il ultérieurement l’renommée. “Le sang sur ses mains n’est pas encore sec, mais depuis le début du procès, il essaie de faire de cette cour son show, il est là pour devenir un symbole”, lâche-t-il.

L’ancien félibre métropolitain Nicolas Hénin n’attendait cliché du directeur imposé. “La reconnaissance des faits n’est plus un sujet”, dit-il. Mais entre ce louange, “j’ai retrouvé la vision du monde totalement binaire qu’il nous infligeait durant nos mois dans les sous-sols d’Alep“. “Son objectif est de se faire une place au panthéon du jihad”, marcotte Nicolas Hénin. “Le mien, pour ces prochaines années, sera de détruire son image et son discours, j’en fais mon combat personnel”.

Avec AFP