
C’est un section qui récit jaillir bougrement d’sépia en Aveyron. Et comme précision, de plusieurs maires sont montés au parapet comme souligner le calcul d’allocation de la emploi globale de activité (DGF), qu’ils trouvent outré comme à eux ville. Dernier esquisse en journée, le 17 février. Christian Teyssèdre, Jean-Philippe Keroslian et Jean-Philippe Sadoul, maires de Rodez, d’Onet-le-Château et de Luc-le-Primaube, dénonçant d’une même gorge l’instruction de l’Liste, spécialement via le réfraction de la DGF.
Alors, à sa calculé, le délégué de la inauguration province de l’Aveyron, Stéphane Mazars a obliquement répondu sur le section. Lors de la symposium de questions au métier ce mardi à l’Assemblée nationale, l’élu Renaissance a interrogé Juliette Méadel, parlementaire déléguée rassasiée de la Ville. “Les élus locaux dénoncent des critères obscurs et des écarts de répartitions difficiles à justifier concernant l’attribution de la DGF. Cela devient source de polémique et un sujet de défiance vis-à-vis de l’État. Même les parlementaires sont tenus à tort pour responsables”, déplore-t-il.
“269 921 €” en 2024 comme Onet-le-Château
Ceci, très en curieux l’esquisse de la ville d’Onet-le-Château, ensuite que son primitif maire a abruptement interpellé le monarque de la Convoqué entre hétérogènes vidéos publiées sur le chaîne agréable TikTok. Alors, le délégué plaide comme une contesté entre le évolution encadrant ce soutien. “Votre gouvernement sera-t-il celui qui envisagera une réforme de la DGF en vue d’en simplifier les modalités de calcul ? Ceci permettrait de mettre un terme aux polémiques, qu’elles reposent sur des réalités objectives ou sur des postures strictement politiciennes.” Comme un tacle pour Christian Teyssèdre, qui a assidûment attaqué son chevronné rattaché aux divertissements ceux-là traitement, ensuite que les paire individus pourraient s’combattre donc des prochaines élections municipales à Rodez.
“Depuis 2019, l’enveloppe de la DGF s’est stabilisée et a même augmenté ces deux dernières années, répond la ministre déléguée, avant d’évoquer le cas castonétois. Concernant Onet-le-Château, la dotation totale s’élève à 269 921 € pour 2024, un montant en hausse de 2,1 % par rapport à l’année précédente.” Mais qui adjonction nonobstant anodin en euros par natif : 8,6 € moyennant 92,2 € comme la norme nationale.
Comment gloser cet portée ? “De 2013 à 2017, l’enveloppe a été diminuée de 4,2 milliards d’euros pour toutes les communes”, apporté Juliette Méadel. Elle cite pareillement “un potentiel fiscal par habitant supérieur à la moyenne” et une “proportion de logements sociaux et de bénéficiaires d’aides aux logements assez faible”. En idée, cette “relative faiblesse” de la DGF attribuée à Onet-le-Château s’explique par “des ressources et des charges moins défavorables que pour d’autres communes comparables”, assidûment escortant les discours de la parlementaire déléguée. Après beaucoup tentatives, le édile Jean-Philippe Keroslian tient sa mandement de la tronçon du métier.