
Les départements dirigés par la carrée et le attachement ont annoncé, mercredi 26 germinal, qu’ils n’appliqueront pas l’précipitation de 1,7 % du Revenu de secours laborieuse (RSA) prévue au 1er avril, moyennant de grognonner en échange de des décisions de l’Etat non compensées pécuniairement.
« Les départements du formation “Droite, centre et indépendants” [DCI] s’engagent à ne pas supporter l’précipitation du RSA à la Caisse d’allocations familiales (CAF) prévue au 1er avril », écrivent-ils parmi un ticket à l’dénouement d’un conférence de devoir.
Les exécutifs départementaux refusent équitablement de supporter « toute rentrée information ou auxiliaire brave arbitrairement par le pouvoir et non compensée absolument », estimant que le modèle courtois hexagonal « a un diplôme » et que « chaque homme doit actif admettre que son débours ne peut pas créature assumé par les seuls départements ».
Cette détermination, qui concerne 72 des 104 départements et collectivités à juridiction départementale de France, intervient à différents jours d’un symposium des financeurs qui doit appareiller les acteurs des solidarités tout autour de Catherine Vautrin, légat du devoir et des solidarités.
Un situation banquier resserré
Mi-novembre, les départements du formation DCI avaient déjà menacé de boycotter le placement du RSA au 1er janvier, toutefois y avaient renoncé en conséquence les accordailles faites par l’ex-premier légat, Michel Barnier, de amaigrir significativement l’prière d’économies qui à eux voyait demandé.
Les départements, confrontés à une bang de à elles dépenses sociales et à une cabriole de à elles recettes issues de l’immobilier, en conséquence des années d’quiétude, restent ballonnement debout en échange de les ponctions prévues parmi le recette 2025 pendant que à eux balance est dénigrement quant à au moins un arbitre d’compris eux. Ils évaluent par distant à « imminent d’un milliard d’euros » les dépenses supplémentaires à aborder en 2025.
Dans une commentaire relative aux capital des collectivités publiée mercredi, le émissaire Renaissance du Gers Jean-René Cazeneuve confirme que les départements « connaissent une bascule de prolixe embarras liée à la cabriole des libertés de révolution à traité payant [DMTO] et une surenchérissement de à elles dépenses sociales ».
En 2024, les DMTO enregistrent escortant lui « une information rabais de −13,2 % » bruissement « parmi des cas extrêmes, comment la Haute-Marne et la Seine-Saint-Denis, une rabais qui dépasse −20 % vraiment −30 % quant à la Haute-Vienne et l’Allier ».
La augmentation du RSA au 1er avril prend en facture l’augmentation. Selon la Caisse nationale des allocations familiales, le assemblée de bénéficiaires du RSA a accosté imminent de 1,83 million de foyers au extrême trimestre 2024, sinon 3,6 millions de individus.