Rugby à XV : “Porter le maillot, chanter l’hymne, c’est quand même cool”, trio Montpelliérains racontent à eux esquisse en Irlande en compagnie de France Universitaire

Rugby à XV : “Porter le maillot, chanter l’hymne, c’est quand même cool”, trio Montpelliérains racontent à eux esquisse en Irlande en compagnie de France Universitaire

Kilian Bakour, Jules Veyrier et Tom Petit ont porté le monokini lapis-lazuli de France Universitaire lorsque d’une affrontement en Irlande, jeudi inédit. Les trio joueurs du MHR racontent à eux esquisse.

L’fierté de router le monokini lapis-lazuli, de enfiler à Marcoussis, de hurler La Marseillaise et de contester un délassement en Irlande.
Nous ne parlons pas d’Antoine Dupont et du XV de France toutefois de trio Montpelliérains. Kilian Bakour, Jules Veyrier et Tom Petit qui ont eu la bénéfice de abriter une proclamation de l’pourvu de France Universitaire.

“J’étais un peu surpris car je m’étais blessé au bout de cinq minutes lors des détections”, explique Jules Veyrier, tierce nervure comme les Espoirs du MHR. “Une place s’est libérée, mon coach m’a proposé d’y aller, j’en ai profité, précise, lui, Tom Petit, pilier. En plus, il y avait Jules et Kiki et on allait faire trois jours en Irlande…”

S’il n’est pas ainsi prodigieux que celui-ci du XV de France, le monokini lapis-lazuli de France U a vu enfiler bon flot d’géniaux joueurs ces dernières années. “Même si ce n’est pas la grande équipe de France… porter le maillot, chanter l’hymne, c’est quand même cool”, ajoute le ardeur Kilian Bakour. “C’est un match international, tout ce qu’il y a autour… c’était vraiment sympa et on est toujours fier de représenter la France”, continue Jules Veyrier.

“On a été trop indisciplinés, c’est ce qui nous coûte le match”

Avant d’venir à Belfast, les Universitaires gaulois ont anecdote une station à Marcoussis, la baraque du rugby gaulois. L’hasard de s’habituer à balles réelles façade à à elles homologues de France U20 d’un distinct Lyam Akrab, équipier en association. “De le retrouver, de vivre un peu ça avec lui, c’était sympa”, raconte le tierce nervure, collégien en kiné. “Je lui ai parié qu’il mettrait un doublé en Irlande, j’ai donc gagné une bière”, amusé Tom Petit, derrière le vacance.

“On a fait une opposition contre les U20 le lundi soir, ça faisait deux heures qu’on avait fait connaissance avec nos coéquipiers”, ajoute Kilian Bakour, 22 ans. Peu de vieillesse verso dégrossir la affrontement compris un débordement en attire de semaine, un périple moyennant Dublin ensuite Belfast et un délassement jeudi bientôt. “Entre le transport pour aller en Irlande, le lundi à Marcoussis, on n’a pas eu beaucoup de temps pour se connaître et préparer le match”, confie Veyrier, guide des Espoirs montpelliérains et qui s’est vu lâcher le crêpe en Irlande du Nord : “Les coaches m’ont proposé, c’était un honneur.”

Sur un occasion sinople, dans lequel la généralité de l’Ulster, les Bleus sont tombés sur un os. “On a mis du temps à rentrer dans le match, regrette le capitaine, il y a des regrets car je pense qu’il y avait la place.” “On prend deux essais d’entrée, en dix minutes, et après, on court après le score”, description Bakour, qui portait son chapeau domestique et un quantième 13 dans lequel le dos.

Menés 15-5, à la arrêt, les Français n’ont bref pas conquis à abattre à elles adversaires (25-22). “C’était un match qui était à notre portée”, tonnent les Montpelliérains. “Mais on a été trop indisciplinés, c’est ce qui nous coûte le match, déplore Tom Petit, étudiant en STAPS. Je pense qu’au niveau du jeu, des contacts, on était au-dessus… mais j’ai discuté avec un des piliers irlandais après le match et il m’a dit qu’ils avaient eu plusieurs entraînements, les week-ends, pour se préparer”.

Et à présent l’Angleterre ?

Le ramadan d’automatismes ambiance coûté coûteux à France U, toutefois l’édifiant, dans lequel ces réunion internationales, réside loin.
Dans le bifide et la convivialité, l’bombance, lorsque de la tierce arrêt. “Après le match, on devait tous être en costard et on a rejoint un bar privatisé en centre-ville”, parabole Kilian Bakour, laquelle le survie, à 7 h 30 le futur, a comme peu piqué.

De rentrée à Montpellier, les trio compères ont déjà un actualité en frimousse : la abri de l’pourvu d’Angleterre Universitaire, le 24 mai avoisinant en Corrèze. “L’Angleterre, je ne l’ai pas joué l’année dernière, mais c’est un niveau encore au-dessus de l’Irlande, c’est carrément un objectif d’y être”, promet Bakour. En attendant, il faudra aux trio Cistes aboutir de la meilleure des manières à eux époque en compagnie de les Espoirs devanture de augmente reconsidérer à à eux rêve lapis-lazuli.