Maire de Bétaille depuis 48 ans, Christian Delrieu incarne un affaire extraordinaire. À 76 ans, il prédisposé mieux des projets comploteur et pourrait bornoyer un neuvième autorisation en 2026. Il assigné son domestique, tassé d’une sacrée observation.
48 ans. Cela récit 48 ans que Christian Delrieu est procureur de Bétaille, une exiguë diocèse du Lot abritant 1 100 personnalités. Une positive engagement avec icelui qui est aujourd’hui âgé de 76 ans et a vu filtrer huit cartes blanches.
“J’ai été élu en mars 1977. J’avais 28 ans, et je voulais faire bouger ma commune, la développer et instaurer plein d’aménagements”, raconte icelui qui trouvait cultivateur. À l’instant, il n’avait aucune observation : “Je ne savais pas comment cela se passait !” Porté par la affairement de la adolescence, Christian Delrieu avait rapacité de révolutionner les choses dans lequel son bourg. Alors, avec ne pas commettre n’importe laquelle, il récit le recueil de s’encadrer d’ancestraux. “J’ai choisi d’anciens adjoints. J’ai créé une liste apolitique, et encore aujourd’hui, j’ai conduit tous mes mandats sans étiquette. La commune n’en a pas besoin pour avancer.” Ses six premières années sont un peu difficiles. “C’est la rencontre des problèmes d’une commune, il faut comprendre les rouages”, explique-t-il. Mais le Lotois s’y récit, et y prend même appétence.
A déchiffrer itou :
ENTRETIEN. Christian Delrieu, procureur de Bétaille : “2022 sera une année de transition”
La monument de disposition : un artistique germe
Alors, également la fin du autorisation arrive, il repart avec un adjoint. “Un de mes opposants avait dit à l’époque : ‘Il faut le stopper car il est capable de rester 50 ans.’ Mais j’étais rentré dans le vif du sujet, je voulais continuer. Ce qui me tenait à cœur, c’était de réaménager le centre bourg. On a construit des magasins alimentaires, on a rapproché la mairie… Il y avait 700 habitants quand j’ai commencé, aujourd’hui, nous sommes 1 100”, se félicite le procureur. Un annonce que ceci fonctionnait. Alors l’cultivateur ne s’permanent pas en si bon berge. Il continue sur sa jetée et persiste dans lequel les aménagements. Le germe lequel il est le davantage altier : la monument de disposition. “Nous avons trois kinés, deux docteurs, un dentiste, une psychomotricienne… C’était compliqué à mettre en place. Il a fallu trouver la bonne surface, attirer les praticiens. C’était très long et très lourd.”
A déchiffrer itou :
La monument de disposition, mieux en tâches, toutefois agissante
Ce qui l’a récit étreindre itou abondamment à la traits de Bétaille : l’dévotion avec sa diocèse. “C’est important d’aimer notre ville si on veut être maire. Il faut vouloir mieux vivre chez nous”, conseille Christian Delrieu. Il pousse : “Et puis moi, j’aime avancer et développer des projets.” En témoignent ces nombreuses dissemblables obligations : vice-président au origine départemental des Jeunes Agriculteurs, gouvernant de la réciprocité Capel pour 21 ans, gouvernant de la alcôve d’culture de Cauvaldor, pilon du organisation du Syded, recommander départemental… Il occupe mieux plusieurs de ces postes, particulièrement avec Cauvaldor. L’baby du tribu résume : “Il faut savoir s’adapter. Avant, on mettait du béton partout. Maintenant, ce n’est plus le cas. En ce moment, j’ai un projet de renaturalisation d’une place.”
“Quand le téléphone sonne à 4 heures du matin, il faut être présent”
Idée procureur, ce sont des adorables biographie, des séminaire bruissement des individus… “Des mariages, des fêtes de famille !” Mais itou des moments davantage durs. “Quand le téléphone sonne à 4 heures du matin, il faut être présent. Malheureusement, j’ai eu plusieurs accidents mortels de jeunes. C’est terrible, surtout quand il faut l’annoncer aux parents”, soupire-t-il. Le procureur pousse : “On passe parfois des périodes très difficiles. Il faut avoir du recul. Il faut passer la nuit, dormir et après agir. Comme on dit, la nuit porte conseil.” Des efforts récompensés : “Ça me fait plaisir quand on nous dit merci pour ce qu’on a fait.”
A déchiffrer itou :
Christian Delrieu réélu procureur
Christian Delrieu avoue : “On ne se déclare pas maire. Il faut que les gens le veuillent. Je dois tout aux gens de Bétaille qui me font confiance. Au fil des années et des mandats, la population a bien changé. D’une commune agricole, on est passés à une commune plus résidentielle où les gens travaillent dans des entreprises à côté. Moi, je considère que pour réussir, il faut aller les voir. Toujours répondre aux gens qui ont des difficultés ou qui sont en colère. Et je continuerai à le faire.” Est-ce un gage avec les municipales de 2026 ? Christian Delrieu compte-t-il comploter un neuvième autorisation ? Il ne sait pas mieux. “Si les gens ont envie et que je sens que j’apporte encore des choses à la commune, pourquoi pas. C’est vrai que je ne m’en lasse pas. Il y a toujours de nouvelles personnes, de nouveaux dossiers. Mes amis me diront si je repars ou pas !”