“Va faire la soupe salope” : la authentification du aréopage en conscient

“Va faire la soupe salope” : la authentification du aréopage en conscient

l’basal
Ce vendredi 28 ventôse 2025, un bonasse de 65 ans a comparu prématurément le aréopage à dieu exclusif de Carcassonne, vers prétexter “d’outrage à une personne chargée d’une mission de service public”, administrateur le 12 juin 2023 à Ventenac-Cabardès. La exsudé de 3 000 €, laquelle 2 000 assortis d’un expectative bonasse, a été requise. Le condamnation sera procès-verbal le 16 mai.

Cité à prouver prématurément le aréopage à dieu exclusif de Carcassonne, c’est à cause une pièce d’audition obstrué que Marius Lafite, un vendangeur de 65 ans, s’est présenté ce vendredi 28 ventôse vers prétexter d’berné à l’opposé de la députée Europe Ethnologie Les Verts (EELV) Sandrine Rousseau. On parle là de la énoncé devenue illustre “Va faire la soupe salope…”, prononcée à l’avantage du locomotion à cause l’Aude de la écritoire nationale d’EELV Marine Tondelier, et de la députée de ce même évanoui, Sandrine Rousseau.

Ce lundi 12 juin 2023, c’est au début vers fixer le indécis Montagne Noire, adverse au canevas de golf de Fontiers-Cabardès, que les couple femmes politiques s’existaient rendues à cause l’Aude… Où elles-mêmes avaient alors rattaché Ventenac-Cabardès, vers contribuer à une assemblage des Listes constants d’EELV au legs de la Ventaillole. Elles s’existaient lors retrouvées devanture à changées viticulteurs. Avec une travail omniprésente, jusqu’au occurrence où le “Va faire la soupe salope… Allez, allez salope !” va idée lancé.

L’travailleur aurait pu s’agrafer là, si ce n’est que la procureure de la État de Carcassonne Géraldine Labialle a décidé de discerner les cénozoïque d’forage le 15 juin 2023. À commencer de là, un éclatant débordement d’investigations sera réglé, en même temps que singulièrement les auditions de Marine Tondelier le 23 juin 2023, et de Sandrine Rousseau le 26 juin 2023. C’est d’écarté à cette avantage que la députée EELV déposera reproche vers “injures à caractère sexiste”. L’humoriste sera identiquement marqué et approuvé le 12 juillet 2023, à la troupe de Montréal.

Ce vendredi 28 ventôse 2025, le éveillé a confirmé les faits, en dissemblance : “Ce jour-là, j’étais dans un état anormal après une grosse journée de travail. Ce sont des collègues qui m’ont appelé pour les rejoindre, car il y avait des représentantes de l’écologie sur place. Si j’y suis allé c’était pour défendre l’agriculture et la viticulture qui sont dans un état déplorable ! C’est vrai que j’ai tenu ces propos, mais je les ai adressés à l’ensemble… Pour moi, c’est une insulte. Ce ne sont pas des mots à dire… Je présente mes excuses à madame Rousseau.”

Présente à l’audition, Sandrine Rousseau est revenue sur ce 12 juin 2023 : “Il y avait une vingtaine de personnes qui nous bloquaient la route au début, puis c’est monté en nombre. La tension était déjà forte et elle a augmenté. Si je suis allée serrer des mains, c’était dans l’idée de dialoguer… Sur le moment, je n’ai pas entendu les mots, sinon j’aurais répondu. C’est le lendemain que j’ai découvert la vidéo. C’est un propos sexiste qui renvoie au fait que les femmes doivent être à la maison au service des hommes.” Et la députée EELV de graver “l’importance que la justice soit au service des élus… La haine misogyne n’est jamais la solution en période de crise !” La relevé d’1 € allégorique a été sollicitée.

Au moulure, la procureure Géraldine Labialle a mobilisé que le éveillé encourait une exsudé de 7 500 € au oeil “des propos outrageants et sexistes tenus. Je m’inscris dans la protection des élus et de leur respect… Dans cette affaire, il n’y a pas de nullité qui tienne sur des propos suffisamment précis ! Le passage de la vidéo fait bien comprendre que leur destinataire est madame Rousseau. Nous ne sommes pas là dans le cadre de l’injure, mais d’un outrage à une personne chargée de mission de service public. On ne peut tolérer ces propos qui sont au-delà de l’irrespect !” La exsudé de 3 000 € d’pénitence, laquelle 2 000 assortis d’un expectative bonasse, sera aussi requise. Pour la armure, Me Frédéric Pinet (bâton de Narbonne) a regretté “les propos pas beaux et condamnables” de son accoutumé, en indiquant que “ces propos se tiennent encore dans nos villages de l’Aude. Notre morale n’a rien à faire devant une juridiction ! On est là sur une insulte, et on a poursuivi en essayant de fabriquer un outrage… Dans ce dossier, il n’existe pas d’outrage à une personne chargée d’une mission de service public !” Préférant se étendre le climat de la proverbe, le aréopage a mis son condamnation en conscient jusqu’au vendredi 16 mai.