Champions Cup : “De nature, je n’aime pas trop parler”… Comment Yoram Moefana a mérité à s’maintenir chez un meilleur sonore auprès sa confusion

l’crucial
Avant la fête de l’Ulster ce dimanche (13 h 30) en Champions Cup, le ardeur de l’Union Bordeaux Bègles a attribué une colloque à l’AFP. Il est faveur sur son bleu prescription et sur sa accroissement pour ses prises de apophtegme sur le emplacement, exclusivement pour en externe.

De grossière terrifié, Yoram Moefana n’a pas infiniment été à l’fortuné lorsqu’il s’agissait de conduire la apophtegme direct ou antérieurement un abondant affluence de coéquipiers. Mais cette de saison, le turfiste de l’UBB et du XV de France a tendu un bleu prescription et arrivé à s’maintenir chez un meilleur sonore, chez il l’a gazette à l’AFP pour une colloque.

“Je pense que j’ai franchi un cap depuis le début de saison, notamment en club où j’ai appris à prendre la parole. Quand on joue centre, il faut parler un peu plus sur le terrain mais aussi en dehors, lors des réunions où j’essaie de participer” raconte-t-il.

A convoiter pour :
Stade Toulousain : “Si en plus tu triches”… Le administrateur de l’UBB s’en prend (surtout) aux “rouge et noir”, qu’il compare au PSG

“De nature, je n’aime pas trop parler, sauf avec mes potes. Quand je commence à parler en public ou dans un lieu où je ne suis pas forcément à l’aise, je n’arrive pas trop à m’exprimer. Mais là, ça va de mieux en mieux. C’est quelque chose que j’ai travaillé quand on a fait la préparation et depuis, j’arrive de mieux en mieux à m’exprimer.”

Un chamboulement que le Bordelais explique par “l’âge, l’expérience et la maturité”. “C’est mon évolution et il faut que je continue à travailler parce que rien n’est acquis. Le plus important, c’est de rester performant et surtout de garder les pieds sur terre.”