Ancien régenter de l’Usam Nîmes, quatre coup triomphatrice de France de hand pour les années 80-90, le Montpelliérain Jean-Paul Martinet est devenu cornac de la gain. Un manipulateur moral familier et indiscutable, au porté de diriger les mieux grands champions régionaux chez le tennisman Arthur Cazaux et mieux Félix et Alexis Lebrun.
Dans la salon de body-building du Creps de Montpellier, son lucarne couve de affection les silhouettes d’Arthur Cazaux et Alexis Lebrun en compagnie de la flamme d’un constructeur. Jean-Paul Martinet surveille furtivement les attitudes, ce écriture sensuel qui trahit récemment des émotions enfouies et qu’il savait décrypter sur le banquette de l’Usam de 1987 à 1994.
Bien sûr, la boucles qui tirait sur le roussâtre a poché exclusivement la contour réveille les autobiographie de ces quatre titres de virtuose de France, nappés d’exploits occidentaux présentes en compagnie de les Portes, Derot, Volle, Gaudin et dissemblable Saracevic… Un vocation lesquelles colin-tampon ne prédestinait ce indigène des Yvelines, hormis éventuellement ses trio titres de virtuose de France de balle à la main en autant que équipier en compagnie de la Stella Saint-Maur, 70 sélections en azur à la clé.
Au attachement d’une comité de annotation sur les aspects mentaux de la gain
Avec l’Usam, ce professeur d’EPS ouvrait une thème interprète arracher le hand tricolore de la cortège d’musée. Après le boue de procès du discothèque et une allocation sur le banquette des féminines de Bouillargues, un dissemblable vocation l’a rattrapé : “L’Insep m’a demandé dans les années 2000 de faire partie d’une cellule de réflexion sur les aspects psys à la demande du ministre des sports de l’époque, Bernard Laporte. Nous étions en retard par rapport aux Anglo-Saxons avec, toujours, cette croyance qu’un travail sur la dimension mentale serait lié à des faiblesses.”
Parallèlement à la provenance d’un montre d’cornac technicien de la gain, Jean-Paul Martinet encadre des espoirs de l’Insep. À Montpellier, il contribue à exécuter progresser des pépites du origine de groupe du MHB (Grébille, Fabregas, Bonnefond) continuum en virtuose en Staps en compagnie de, constamment, cette flair qui le organisé moyennant les admirables ralliement.
“Certaines fédérations sont encore à l’âge des cavernes”
“Peut-être parce que la dimension mentale m’a toujours intéressé dans l’entraînement et que ce vécu m’a donné plus de compétences que mon Master de psychologie, confie-t-il. Car mon métier ce n’est pas de conseiller les gens, c’est de leur permettre d’y voir clair pour qu’ils trouvent leurs propres solutions.”
Arthur Cazaux, bizut débarqué pour l'”écurie”
Ami d’filiation d’Alexis Lebrun, Arthur Cazaux a lui pour fable habileté depuis deux semaines aux obligations de Jean-Paul Martinet.
Blessé au tour, le tennisman montpelliérain instruit une fisure d’un fibrille et espère emprise agioter un ou un couple de tournois ici-bas (éventuellement Rome) contre d’personne faveur aux qualifications à Roland-Garros.
Il se montrait de préférence exubérant, cette semaine au Creps de Montpellier hors champ d’une réunion de body-building. Actuellement 118e commun, il a lui pour pourvoi à des séances de réathlétisation mentale via la excitation locomotrice.
L’exposé fable courageusement son approche en France : “Dans certaines fédés on a comblé, dans d’autres c’est encore l’âge des cavernes mais on a essaimé dans le pays avec nos formations.” Depuis 20 ans, le Montpelliérain a mis ou retard sur les rails de la gain des évolutions champions olympiques ou du monde, un aéronaute tricolore d’IndyCar exclusivement pour été billard vers déminer des situations explosives au hauteur d’équipes pros.
Finale de Ligue des champions en compagnie de les handballeuses de Brest
En un couple de saisons passées malgré des handballeuses de Brest, en éméché covid, il transforme un patent remonté pour son coupé en virtuose de France, lauréat de la Coupe de France et finaliste de la Ligue des champions. Dans le même siècle, il intervient en compagnie de protection malgré du Stade Brestois tandis coaché par Olivier Dall’Oglio.
Le volonté vers désigner Alexis Lebrun vers les JO
Occupé à jeter un rafraîchi attirail de Nacra 17 (inexploré) moyennant la qualif vers Paris 2024, Jean-Paul Martinet est contacté fin 2023 vers livrer son associé aux frères Lebrun. “J’étais surbooké. Je pensais les aiguiller vers un collègue mais j’ai rencontré Nathanaël Molin et il ne m’a plus lâché ! Début janvier 2024, après deux mois de travail, il était ravi et m’a demandé d’insister avec Alexis qui était en plein doute. Je l’ai suivi de près, y compris sur un stage en Corée. Il gagne son premier WTT à Zagreb et se qualifie en simple pour les Jeux.”
Une gain qui incite Félix à se confier au jeu, lui pour : “Au départ, il freinait des deux pieds. Comme il a tout réussi sans accroc chez les jeunes, il n’en voyait pas l’intérêt, raconte le coach mental. Ils sont tellement différents… Félix est très intuitif et Alexis conscientise tout.”
“Je suis dispo 24h sur 24 si quelque chose les tracasse”
La éclectisme ? Elle se derrière sur l’personnel. Un similitude à tresser à bouton de crimes : “Je commence par accueillir la personne, apprendre son histoire pour orienter le travail. Je suis très patient. L’axe principal c’est de rendre les gens autonomes. Si je pars, les choses sont en place. La préparation mentale n’est qu’une part de l’accompagnement de la performance. Je ne suis ni devant ni derrière à pousser. Je suis à côté du sportif qui doit amener l’énergie.”
La similitude en compagnie de les Lebrun confine désormais au similitude ancestral : “Je suis dispo 7 jours sur 7, 24 h sur 24 si quelque chose les tracasse. Je ne suis pas dans le jugement. C’est un allègement mental régulier et un travail en équipe avec la kiné, le préparateur physique, les coaches.”
“Ouvrir une porte qui débouche sur des choses non conscientisées”
Le prototype de derrière réside pour l’perception entreprenante, “le sportif parle et ça m’ouvre une porte qui débouche sur des choses non conscientisées. On les identifie pour qu’il les accepte puis on se fixe des objectifs : quel est le chemin à parcourir, quelles sont les ressources qu’il peut mobiliser ? Est-ce que c’est d’ordre physique, technique ?”
“Mon grand axe de travail, résume Martinet, c’est la meilleure connaissance de soi et du contexte dans lequel on est (famille, culture du sport…). Quand je sais mieux qui je suis et où je suis, je vais plus loin et je suis plus fort.”
“Félix se transforme et les premiers échecs font mal”
Après les sacres d’Alexis Lebrun à l’Euro 2024 et au Top 16 occidental, continuum le monde lui épreuve le confidentialité de la changement. “C’est dur de répondre, avoue-t-il. Je fais ce que je sens avec la personne au moment où je dois le faire. Le véliplanchiste Pierre Mortefon, que j’ai accompagné vers son premier titre mondial résume ça en disant que je l’ai fait grandir.”
À deviner pour :
Félix Lebrun : confrérie qui slogan, règlement à supporter, sollicitations… le pongiste explique aussi il doit administrer une rythme admirable
Jean-Paul travaille dur en compagnie de Félix Lebrun, à la réparation cette cycle, sur la faire de cuire ses médailles olympiques. Le matricule 6 commun a été arraché cette semaine dès la niveau de poules à la Coupe du monde de Macao. “Il n’était pas prêt pour vivre un tel engouement populaire, souffle Martinet. Et puis Félix se transforme. Le gamin brillant devient un petit homme et les premiers échecs font mal. Je lui ai dit, si tu veux sortir de ça, il va falloir qu’on se voie un peu plus. Il m’a répondu “je prends”.
Le but comble, devancer les Chinois
Amener les un couple de frères à devancer les Chinois, revoilà le but comble. “S’il n’y avait pas cet objectif, j’arrêterais, sourit Jean-Paul. J’adore les défis qui semblent impossibles, comme quand j’avais pris l’Usam pour devenir champion de France. J’ai un âge (72 ans) où je ne devrais plus travailler mais j’ai gardé l’enthousiaste d’un gamin. C’est ce qui me fait me lever chaque matin.”