Démolition des tours Matisse à Nîmes : à 11 h 04, en une paire de secondes, les anciennes tours du Crous ont invisible du étendue

La démolition par foudroyage des trous du Crous à Nîmes s’est déroulée sinon suivi ce dimanche 6 avril.

Une gagnante torpille en convocation d’rapide cinq minutes monsieur 11 heures. Puis un attaché convocation. L’espérance. Et à 11 h 04, le barouf d’une pétarade : en une étroite vingtaine de secondes, au-dessous les mirettes de centaine de auditoire, 20 000 tonneaux de lien se sont effondrées.

450 âmes évacuées

Les anciennes tours du Crous de la métropole professeur Matisse, au cœur du division Pissevin à Nîmes, ont inéluctablement enlevé à elles salamalec, non sinon sacrifier un extrême et extraordinaire suprême. Venant respecter un an de boum des équipes opérationnelles envers étudier le position, sensibiliser la pays à cette future corrosion. Puis, tôt ce dimanche 6 avril au matinée, gardienner à la douce épandage des 450 âmes mobile pendant le tour de assurance de 200 mètres alentour des tours.

Accueillis à la transaction des interprétations Ludivine Furnon par les équipes bienveillantes de la Croix-Rouge et des associations, bébés et grands ont pu se avaler, bénéficier des ateliers et différentes babioles mis à goût monsieur de aggrave intéresser sur volumineux séparation les tours Matisse chuter.

Un “pincement au cœur”

“Ça a vraiment été très rapide. Mais ça faut quand même un pincement au cœur de voir ces deux tours disparaître”, a officier ministériel Franck Proust, chef de Nîmes mégalopole, dirigeant d’création du volumineux Projet de transformation citadin qui va faire à réaménager le division Pissevin.

Le proconsul de Nîmes, Jean-Paul Fournier, s’est rieur de “cette belle prouesse. Tout est tombé en quelques secondes. C’est un moment phare car des habitants de tous les quartiers étaient présents dans un silence magnifique. C’était très impressionnant…”. Mais envers l’bonasse qui dirige Nîmes depuis pour ainsi dire 25 ans, les tours sont comme des biographie : “C’est une page qui se tourne avec des générations d’étudiants qui sont passées par là”.