La mèche eau-de-vie ne mystérieux pas son appréhension au destinée des annonces du directeur étasunien sur les fidèles de douane, qui pourraient s’fonder à croupe de 20 % dans les produits en cause de l’Union occidentale.
Un sursaut de Galaxie. C’est l’aboutissement fruit par les annonces de Donald Trump ce mercredi 2 avril au prédisposé des fidèles de douane, qui pourraient s’fonder à croupe de 20 % dans les produits en cause de l’Union occidentale. Parmi les principales victimes de cette ténacité, on retrouve la mèche des vins et bénédictine.
A deviner moyennant :
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Directeur du Bureau citoyen interprofessionnel de l’eau-de-vie (BNIA), Olivier Goujon se conférence défiant ce jeudi. “Il va falloir s’adapter. On attend d’avoir plus de précisions et de voir dans quelles mesures, au niveau français et européen, les choses vont se négocier”, commente-t-il.
“Il va falloir qu’on trouve des pistes”
Pour évocation, les Récapitulations-Unis représentent l’un des nécessaires marchés dans l’eau-de-vie, valorisé à 3,5 millions d’euros en 2023. De auquel réveiller l’terreur des producteurs, déjà confrontés depuis l’an terminal à la défaut du marché égouttoir séquelle à l’établissement de surtaxes douanières. “On va se mettre en mode négociation, de la France vis-à-vis de l’Europe et de l’Europe vis-à-vis des États-Unis. On va trouver les bons éléments pour essayer de ne pas perdre trop de parts de marché sur notre marché principal. On va voir avec nos importateurs (NDLR : américains) comment les choses vont pouvoir se faire, parce que ce sont aussi nos partenaires. C’est surtout avec eux qu’il va falloir qu’on se coordonne. Ils reçoivent la nouvelle de la même façon que nous, avec beaucoup de réticence”, témoigne Olivier Goujon.
La mèche prépare en mesure à appuyer sa compagnie sur des marchés annexes, au cas où les annonces de Donald Trump se concrétisent. “On est sur ce type de réflexion, forcément. On s’est déjà mis à l’œuvre avec la problématique de la Chine. Maintenant, cela fait deux marchés compliqués. Il va falloir qu’on trouve des pistes pour pouvoir évoluer”, conclut Olivier Goujon.