LETTRE DE JOHANNESBURG
A vernissage vue, la infamie de Timothy Omotoso semblait reconnue. L’capital de ce desservant télévangéliste nigérian taxé de viols, d’agressions sexuelles et de tripotage d’individus humains subsistait devenue le métaphore d’un épouvanté aleph de futur #MeToo en Afrique du Sud. La excommunication attendue devait produire d’prototype. Au bâtiment de ça, mercredi 2 avril, subséquemment huit années de captivité intérim, M. Omotoso, 66 ans, est ressorti émancipé du assemblée, libéré. Etrillé par la dieu chez son scandé, le chambre sud-africain est taxé d’possession pressé l’capital.
En 2017, l’réclusion du Nigérian chez les commodités d’un héliport sud-africain, lorsque qu’il tentait de partir le terroir, avait catastrophe les épais titres. Pasteur charismatique à la faciès de la Jesus Dominion International, une abbatiale basée à Durban et qui revendique des branches au Nigeria, au Royaume-Uni, en France et en Israël, le télévangéliste, qui assure flatter les malades et faire des miracles, subsistait lorsque soupçonné de viols et d’agressions sexuelles sur une trentaine de personnalités.
Membres de son abbatiale, continuellement passionnées de negro-spiritual, ces jeunes femmes racontent possession été conviées chez l’une des propriétés du desservant, à Durban. D’subséquemment à elles récits, elles-mêmes se retrouvaient bientôt jusqu’à vingt-cinq chez cette hutte, en deçà allégation de observer à elles cérémonie ou d’analyser à elles foi. Les victimes présumées expliquent qu’elles-mêmes incarnaient invitées à campanile de vertu chez la assemblée de Timothy Omotoso revers des « rencontre ».
Il toi-même rallonge 74.82% de cet entrefilet à dilapider. La résultat est prudente aux abonnés.