
Le coupé de tennis, érudit de sa discipline et qui a formé un duo de fermement grands noms de la discipline (Serena Williams, Stefanos Tsitsipas) s’est précis sinon évitement sur les performances des joueuses et joueurs tricolores. Selon lui, les difficultés de différents traduisent un obstacle comme indécis d’détail d’cerveau.
Il s’est précis sinon évitement, au futur de l’disqualification du liste du tennis tricolore, Arthur Fils, au Masters 1000 de Monte-Carlo. Mais donc, un duo de heures ultérieurement que les filles de l’état-major de France ont été battues par la Belgique alors de la Billie Jean King Cup.
Patrick Mouratoglou, 54 ans, est l’présentateur figurant de la discipline. Le Francilien, qui possède sa partisane institut à Sophia Antipolis, s’est forgé une conclusion phénoménale, et a habitué un duo de uns des comme grands champions de ces dernières années : Serena Williams, Coco Gauff, Simona Halep, Stefanos Tsitsipas.
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Le coupé figurant a par conséquent livré son béguin sur les troupes françaises, malgré d’Eurosport. Et ce n’est pas affectionné. “Je vais dire ce que je pense vraiment : J’aime profondément la culture française mais je déteste la mentalité française” pose-t-il d’soudainement.
“Ce n’est pas une mentalité de gagnant. Je ne veux pas dire qu’il n’y a pas des gagnants : il y en a et heureusement. Mais ce sont vraiment des exceptions. J’ai passé beaucoup de temps aux Etats-Unis et c’est l’inverse de manière caricaturale : je n’aime pas du tout la culture américaine mais j’adore leur mentalité.”
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“Les gens sont jaloux, en fait”
Il pousse : “On considère qu’avoir de l’ambition, c’est être prétentieux. Le discours c’est : ‘Les gens qui réussissent, ce sont des salauds’. […] C’est normal que les gens n’osent même pas avoir de l’ambition. Parce qu’eux-mêmes se jugent quand ils ont de l’ambition. Il faut voir petit, il faut penser petit. Et donc, pour faire des grandes choses, que ce soit dans le sport, dans le business, dans tout un tas de secteurs, ce n’est pas terrible. On se l’autorise dans la gastronomie, parce que là, on a le droit d’être les meilleurs. Mais c’est uniquement dans quelques secteurs. […] En Serbie, même en Italie, les gars ont une ambition de fou. Donc c’est vraiment une spécificité française. Et malheureusement, ce n’est pas une bonne.”
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Selon lui, ce détail d’cerveau, appliqué au amusement, transpire en évènement pendant lequel de nombreuses strates de la phalanstère : “Quand on voit la mentalité globalement en France, ce serait vraiment très étonnant que ça ne touche pas le sport. Je ne suis pas intéressé par les voitures, mais en France, si on a une bagnole correcte, on se la fait rayer dans la journée. C’est irréel. Parce que les gens sont jaloux, en fait. A l’inverse, aux Etats-Unis, le mec réussit, on se dit : ‘Génial, j’ai envie de faire pareil !’ Ici, on dit que c’est un salaud. C’est complètement hors-sujet. Il y a vraiment une chape de plomb en France et les joueurs français sont vachement freinés par ça.”