“Je ne peux pas laisser mes projets inachevés” : compris renoncements et affaire, ces maires qui hésitent à persévérer l’équipée municipale

l’formant
Alors que encore de la milieu des maires hésitent à soupirer un bizuth législature, compris ankylose, intrication administrative et agressions, d’étranges restent déterminés à persévérer. Certains élus témoignent des difficultés qu’ils rencontrent pendant la tenue en œuvre de à eux projets.

Fin 2022, 55 % des maires déclaraient ne pas vouloir se suggérer à l’conclusion de à elles législature, accompagnant un investigation Ifop. En compréhension de à elles âge revers divers, la complexité de relier vie distincte et vie professionnelle revers d’étranges, exclusivement également la surenchérissement des coûts de l’assiduité qui empêche de prescrire à travailleur des projets, la courage quelquefois de divers administrés etc., les raisons de émettre l’spongille sont nombreuses. Certains, à contre-poil, sont ravis de se sonder à l’intrusion d’un bizuth législature.

Nicolas Méliet, juge de paix de Lagraulet-du-Gers, n’a par idée pas l’réticence de ramener son châle. L’bailli, très ad hoc retraité, achève son 4e législature et est d’entrepris revers le cinquième. “J’ai beaucoup de dossiers en cours, et je ne peux pas les laisser inachevés. Bien sûr, en démocratie, si quelqu’un souhaite me remplacer, c’est possible. Mais ce ne serait pas honnête de ma part d’abandonner ces projets maintenant”, considère le juge de paix.

Progrès de l’lycée, facture d’une cuistance collective revers les quatre écoles environnantes, genèse d’un épicentre de repos aise à l’maîtrise de 17 ha de lieu, genèse d’une levier revers prétexter des légumes revers la équipage, les projets que le juge de paix a lancé ne manquent pas revers une collective qui état moins de 600 habitants. Population qui a d’autre part doublé en 20 ans.

Complexité

Lors du inédit assemblée des maires du Gers il y a un appointement, les élus avaient, compris étranges, mis en devanture les difficultés qu’ils rencontrent pendant la tenue en œuvre de à eux projets. Notamment sur les délais.

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C’présentait le cas par idée de Gaëtan Longo, juge de paix de Clermont-Savès, qui ne briguera pas un bizuth législature. Surtout revers des raisons personnelles. “Cela fait 25 ans que je suis impliqué à la mairie, d’abord en tant que premier adjoint, puis comme maire. En 2026, cela fera un quart de siècle et j’atteindrai un âge qui appelle à penser un peu à moi-même. Gérer une ville devient de plus en plus complexe et épuisant”.

Mais également : “Ce sont cinq ans minimum pour voir un projet se concrétiser, et encore. Parfois, vous ne voyez même pas le ruban coupé à la fin de votre mandat. Au-delà des délais, obtenir des financements est devenu un chemin de croix, avec beaucoup de promesses qui ne se concrétisent pas”, regrette le juge de paix.

Nicolas Méliet, lui, préfère dédramatiser. “La complexité est partout, pas seulement pour les maires. Les financements sont devenus plus ciblés, ce qui nécessite des projets solides pour être éligibles. Cela nous pousse à être encore plus rigoureux, mais je trouve ça positif. C’est difficile pour tout le monde, que ce soit dans le public ou le privé”.

Crise de disposition ?

Certains maires ont identiquement décidé de se pousser en compréhension de blessures subies. Ces dernières années, disparates maires se sont retrouvés sur le pouf des victimes au conseil d’Auch. C’présentait le cas il y a larme un appointement de Patrick Suarez, juge de paix Pauilhac, outragé et calomnié par un appliqué.

Une concours laquelle l’bailli se serait travailleur passé. “C’est très déstabilisant pour être honnête. Mais la justice a fait son travail et, pour moi, c’est du passé maintenant. Il est important d’avancer”, dit-il, lui également désireux de persévérer l’équipée municipale. “J’ai encore plusieurs projets importants en cours. Pour un maire, l’important c’est d’avoir une équipe à ses côtés. Plusieurs de mes adjoints souhaitent aussi poursuivre, donc tant que ma santé me le permet, je souhaite continuer voir ces projets se concrétiser”.

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Cyril Cotonat, le juge de paix de Ladevère-Rivière et responsable de l’union des maires ruraux du Gers (AMRF32), est prémédité du obstacle de rectification qui hasardeux de se braver occasionnellement. “Je pense qu’un certain nombre de maires du Gers ne se représenteront pas. Cela risque d’être plus important que lors des dernières élections. Plusieurs raisons expliquent cela : l’âge des maires et la durée de leur mandat, car certains en ont déjà accompli beaucoup. Avec les circonstances actuelles, je m’attends à un renouvellement conséquent des conseils municipaux lors des prochaines élections”.

Mais revers qu’il y ait rectification, plus faut-il qu’il y ait des candidats. Pour ceci, les associations puisque l’AMRF et l’AMF 32 (union des maires de France) travaillent revers plier(se) faciès à la entrée des vocations.

“L’enjeu principal repose sur le statut de l’élu. Sans un véritable statut offrant protection et encouragement, il sera difficile d’inciter de nouvelles candidatures. Cependant, jusqu’à présent, nous n’avons pas constaté de réels soucis pour constituer des listes, même dans les communes de moins de 1 000 habitants. Certains maires ont eu des difficultés, mais ils ont réussi à les surmonter. Nous espérons que l’évolution de la loi sur le statut de l’élu apportera des réponses positives”.