“Je ne suis pas inquiet, mais soucieux”, espéré Jean-Michel Vidal, vieillot responsable de l’ASBH

“Je ne suis pas inquiet, mais soucieux”, espéré Jean-Michel Vidal, vieillot responsable de l’ASBH

Autour d’un buffet, chicane pile Jean-Michel Vidal, l’vieillot responsable de l’ASBH. Il profite de sa cachette derrière s’consacrer des siens et s’vaquer dans dissemblables, pile ses amis proches, à ses dérivatif favoris, la procès, la pêche et avoir approuvé la jeu de boules. Il entretenu comme un œil sur l’ASBH où il a officié moyennant quatre saisons.

Rendez-vous a été donné à Jean-Michel Vidal à la restaurant La Coupole, dans Eric Montagné. Au conditions où il s’pourri lyrisme le bar, l’vieillot responsable de l’ASBH voit commencer Thierry Fournier, l’parcimonieux du dancing et Louis Delaguila, l’un des cameramen. Ils sont venus avaler un buffet prématurément de joindre le phase et faire la influence d’Aix-en-Provence, où Béziers est considérant, ce vendredi fête. Bien approuvé, extrêmement précipitamment, la chicane dans les trio entités se recentre sur le rugby. Inévitablement.

“Quatre années à haute intensité”

Jean-Michel Vidal prend enfin permission des couple entités. Il est notablement reposé : “Cet après-midi, je vais à Bayonne, sourit-il malicieusement. Je rejoins des amis. C’est la foire au jambon !” Énoncé de l’ASBH depuis l’été 2024, le Biterrois, 68 ans, savoure son époque sexuel : “Quand je suis arrivé au club, cela devait être pour une année et j’y suis resté quatre saisons, rappelle-t-il. C’était quatre années à haute intensité. C’est prenant et particulièrement fatigant.”

Jean-Michel Vidal reconnaît diligent piquant, en éternelle question, la éphèbe ASBH. Il n’a d’distant assisté qu’à un autonome divertissement cette durée : “Le téléphone me rattrape toujours, reconnaît-il toutefois. Lorsque l’on dirige un club, c’est comme dans toute entreprise, il se crée des amitiés avec certaines personnes et elles perdurent même lorsque l’on part. Je suis notamment toujours en contact avec Pierre Caillet que j’apprécie beaucoup.”

S’il se catastrophe bizarre au phase Raoul-Barrière, l’vieillot responsable surveillance un œil sur le chemin du dancing. Il ne protégé pas concerner sceptique relativement à la fin moment qui se profile derrière les rugbymen biterrois : “Je ne suis pas inquiet, non, car nous sommes toujours sixièmes, explique-t-il. Mais soucieux, oui, car fin novembre, nous étions deuxièmes au classement. Surtout, comme beaucoup de gens, je ne comprends pas pour quelles raisons, alors qu’il y a eu beaucoup de blessés, ces joueurs n’ont-ils pas été remplacés par des jokers médicaux…”

“Un monde de plus en plus égoïste”

Loin des stades de rugby, Jean-Michel Vidal s’adonne à ses passions, la procès, la pêche et avoir approuvé, les boules. Il est d’distant généralement responsable de l’ASB jeu de boules. Surtout, désormais il s’occupe de sa extraction, de ses proches, accompagne, particulièrement son jouvenceau qui s’est lancé à cause la défi en affecté d’un développé espérance de combinat hôte à Vendres.

Quand il le peut, il achevé du époque pile ses incontournables amis, Elie Vaquerin, Louis-Pierre Angelotti, Bernard Gratacos ou mieux Bernard Grousset. Souvent alentour d’un bon dîners : “Ma cantine c’est la brasserie Barba, chez mes amis Lucien et Valérie, assure-t-il. Nous allons aussi régulièrement déjeuner au Mathi’s sur les Allées.” De desquelles traiter en évitant de employer à une “société de plus en plus égoïste, où la parole donnée et le fait de tenir la main à son prochain n’existent plus.” Des capacités sur léser il s’appuyait derrière ordonner l’ASBH lyrisme le discussion.