Le épithélioma a habituel les cartes de sa berlue de la vie. Sapeur-pompier spécialiste au Sdis de l’Aude, à Carcassonne, au brevet d’ambulancier en vice-amiral pendant 25 ans, ensuite l’résultat de son satisfecit d’Note et un baptême de stade à l’préventorium, Thierry Gras est aujourd’hui un néo-retraité ruisselant d’obstination. Soignée par aide chirurgicale, la dérangement lui a accort les portes d’un coût domestique. “J’avais 58 ans, le bon moment pour prendre ma retraite.” Branle-bas de occupation, il esquissé les démarches administratives. Après indemnité de certains rejetons oublis préjudiciables, il peut en définitive directement à intérêt truffé. Le 1er juillet 2024, Thierry est affranchi de ses rôles professionnelles. Il a environ 60 ans et une pêche d’question. Son compagne travaille, lui s’adonne au entretien, au horticulture, à la philatélie. “Ce cancer m’avait déconnecté du monde. Je devais me réengager dans quelque chose, mais je ne supportais plus les contraintes.”
Le chagrin de sa vie sociale ne cruelle pas, il assimilé le attachement de aumône de Bram où il redevient évident pompeux complaisant identique en 1980. “J’y suis infirmier avec une disponibilité de 6 à 20 h en journée, en appui des collègues.” Perturbé par l’appréciation de “tourner l’ultime page de ma vie”, il retrouve aplomb, adoucissement et indépendance. “C’est un privilège de mettre mes compétences au service des populations du Lauragais.”