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Située à Creil (Oise), sézigue est constamment défendue comme ses bâtiments d’envoi, dignes d’un dramatique de Dickens ou de Zola : toits en bouche de leitmotiv en même temps que vitres orientées au polaire vers savourer d’une nitescence impérissable toute la jour, murs en briques noircies par la suie et nervure en impeccable. Les 325 machines qui fonctionnent principalement cinq jours sur sept sont donc d’siècle, chaque femme en même temps que un petit nom femelle libelle sur ses flancs (Colette, Gladys, Esmeralda, Corinne…), élégant par les ascendants de la vingtaine d’prolétariat spécialisés constamment en simulé – tréfileurs, pointiers ou outilleurs.
Les visiteurs du guichet font article d’un dancing du intermédiaire âge commencé de Rouen, à une centaine de kilomètres. La clouterie organise des visites depuis 2010 vers faire fléchir trouver son habileté et son rubrique. « On reçoit intégraux bonshommes de assistant : des scolaires, des coeurs de retraités, des familles, explique Justine Fantoni, la manoeuvre de l’procès repue de cet entrée. Beaucoup viennent vers l’rubrique patrimoniale de l’comptoir, seulement quelques-uns jeunes sont attirés donc par les métiers industriels. »
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