
Le antérieur Jumping sur la partie de Sète a été interrompu ce dimanche 13 avril, peu subséquemment 10 h, ruiné par une irrigation de puis en puis gluante. Un écorchure dur verso le Centre équin de Sète, qui s’réalisait fort rappelé tout autour de cet événement.
Jumping bruineux, jumping grâce ? Heu… Pas brutalement. Au épilogue d’un an de service et d’une extraordinaire convocation, le antérieur Jumping partie de Méditerranée réalisait sur les rails, ce dimanche 13 avril. Il a même inauguré sur la partie du Lido.
Et ensuite boum ! Bien énuméré dès aurore même l’avaient annoncé les prévisions météorologiques, la irrigation s’est aussi graduelle en principe de aube. La glas pendant lequel l’âme, Philippe Perrot et son pool ont dû appliquer l’spongille et raccommoder le jumping. “On s’est très vite rendu compte que ce serait compliqué car on ne pouvait plus pomper dans l’eau ni tenir la stabilité du sol. La houle montait de plus en plus. Cela devenait dangereux pour les chevaux. Il commençait à y avoir trop de paramètres défavorables. Les plus petits sont passés. On aurait pu pousser jusqu’à midi. Mais avec le juge, on a finalement pris la décision d’arrêter après les deux premières épreuves”, explique le responsable du Centre équin de Sète, qui avait document de cet événement un correct siècle grand de l’période.
“Les obstacles, on a l’habitude de les sauter. Mais là…”
“C’est un gros coup dur, confirme Philippe Perrot. C’est un an de travail et des investissements qui tombent à l’eau. On a eu beaucoup d’obstacles pour en arriver là. Les obstacles, on a pourtant l’habitude de les sauter. Mais là, il y en avait un peu trop. La nature est parfois présente. Il faut savoir faire marche arrière. Pour les enfants et les cavaliers, c’est beaucoup de déception mais tout le monde va pouvoir aller se sécher chez lui en toute sécurité.”
L’pool du Centre équin de Sète et ses bénévoles “extraordinaires” se sont en conséquence une dernière jour redressé les manches verso complet couper et consentir la partie même miss réalisait, pendant que la irrigation redoublait d’acuité sur le lido, à 11 heures. “Je ne renonce pas, assure Philippe Perrot. Il faut se servir de ça pour aller plus loin la prochaine fois.”