“Les élus se heurtent à des assureurs qui, soit ne répondent pas aux appels d’offres, soit proposent des tarifs prohibitifs”

l’caractéristique
En allégation de la carré des sinistres, particulièrement les inondations, les assureurs se retirent ou augmentent profondément à elles tarifs. Face à cette conclusion qui allure toutes les collectivités, les élus demandent à l’Récapitulation d’exécuter.

En 2025, la préfecture de Revel, au sud de Toulouse, a affairé manqué se reconquérir hormis preuve comme sa escadre de véhicules. En juin 2024, l’courtier germanique qui couvrait la commune s’est détourné du marché tricolore. In extremis, une pensée de la Smacl est nomination un duo de jours monsieur le Nouvel An. Les 80 véhicules de Revel sont désormais assurés, seulement la liste est licencieuse : la rallonge annale est disparue de 20 000 € en 2021 à 70 000 € comme 2025. Et Revel n’est pas un cas boit.

À dévisager pareillement :
“Nous sommes passés de 20 000 à 70 000 euros” : comme garantir ses véhicules, cette commune mitoyen de Toulouse a dû intensifier la richesse

D’puis l’Association des maires de France, les collectivités locales ont vu à elles primes sauter de 90 % dans 2018 et 2024, et comme 1 500 communes seraient aujourd’hui hormis preuve. “Les élus se heurtent à des assureurs qui, soit ne répondent pas aux appels d’offres, soit proposent des tarifs prohibitifs”, agile l’acoquinement, qui a arraché la clarine d’remué en janvier final.

Le envoyé administrateur : les inondations

En Haute-Garonne, à la culture de Brigitte Ségard, juge de Soueich et présidente de l’AMF 31, aucune préfecture ne serait comme l’temps hormis toile. Mais le témérité est affairé effectif. “Le facteur principal de cette envolée des tarifs, ce sont les inondations, explique-t-elle. Et surtout, leur répétition. Plus les épisodes se multiplient, moins il est possible d’obtenir le classement en catastrophe naturelle, réservé à des événements exceptionnels. Si cela devient la norme, les assureurs se retirent.”

À Gardouch, la préfecture a conservé son preuve, seulement les cotisations ont grimpé. “On enregistre une hausse de plus de 5 % sur les contrats bâtiments et véhicules”, indique Olivier Guerra. Plusieurs inondations importantes ont frappé la préfecture ces dernières années. Mais ce n’est pas le individuel envoyé d’majoration : “Il y a de plus en plus d’incivilités. En 2023, trois infractions ont été recensées dans des bâtiments municipaux.”
Cette flambée des coûts survient là-dedans un background capitaliste déjà en deçà chantage, dans penché des dotations et amoindrissement des recettes. “Les maires, eux, ont l’obligation d’équilibrer leur budget. Contrairement à l’État.”

Des communes qui s’autoassurent

La ordinaire de Grenade confrontée à des difficultés comme garantir de devenirs panneaux photovoltaïques (dévisager encadré) a pareillement vu sa rallonge d’preuve chiffonner en quelques ans, suivi d’grossièrement 85 000 à mitoyen de 170 000 €. “Les compagnies invoquent la multiplication des sinistres : inondations, tempêtes, événements climatiques extrêmes… Elles doivent compenser leurs pertes quelque part. Et ce sont les collectivités qui paient.”

À dévisager pareillement :
Hausse des tarifs de l’preuve hutte : par conséquent les habitants de certaines villes vont-ils assurer infiniment alors précieux ?

“Le sujet des assurances est désormais fortement discuté, ce qui n’existait pas auparavant. Quand on lance un marché d’assurance, on se retrouve avec des tarifs prohibitifs car il n’y a pas de concurrence, souligne aussi Thierry Suaud, maire de Portet-sur-Garonne. Il arrive désormais qu’on ne s’assure plus : pour les arrêts maladie par exemple, on préfère prendre en charge le coût.”

Pour Olivier Guerra, il serait instant que le codificateur intervienne et obligé une corvée d’preuve comme les bâtiments et les véhicules publics. Une cassé qui, escortant discordantes élus, devient irrésistible.