Il existait la arrogance de toute une île. Mario Banner-Martin a été le préalable flic tahitien pour, en deçà ses ordres, les 328 agents de la influence territoriale de la surveillance nationale (DTPN) pendant l’île. Mais en février 2023, l’contrôle avant-première de la surveillance nationale (IGPN) moderne à Tahiti une évangélisation d’contrôle, après recommande « une transmutation sinon retard » du patron.
Le ressemblance est minutieux : les inspecteurs constatent « une affaissement méchamment consistante des infractions révélées par l’efficacité des offices (− 41 % en quelques ans) » sur les stupéfiants, après que la heurt antidrogue est une précellence en Polynésie française. Ils notent que le haut-commissaire de la État (plénipotentiaire de l’Etat métropolitain sur l’île, conforme à un gouverneur) « n’est pas ravi du boulot » de la DTPN.
L’IGPN constate également que « Mario Banner, de éternelle période, à l’chapelle même pendant ses écrits, tient des adresse mortifiant à l’minutie des partenaires institutionnels (maréchaussée, intégrité, disparates offices de surveillance, organisations syndicales…) et dénigrants avant de ses agents » et qu’il « a identiquement eu des comportements discriminants à l’minutie de certaines collaboratrices ».
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