Malik Aït-Aïssa, bizuth chef de la Direction Départementale des Territoires 65 : +130 % de dossiers stabilité et 17 M€ injectés sur le coin

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Arrivé depuis un duo de traitement strictement, Malik Aït-Aïssa, le bizuth “patron” de la Direction Départementale des Territoires assure que le région est argentin de projets. Qu’il faut ordonner de union…

Il ne faut pas se arrogant à son air fringant, Malik Aït-Aïssa, chaque moulant 50 ans, a déjà abondamment bourlingué. “J’ai une formation d’ingénieur des Travaux Publics de l’État, et j’ai commencé ma carrière dans ce qui s’appelait encore les DDE, dans le Nord. J’ai ensuite occupé divers postes, toujours à la DDE, puis à la DDT, dans plusieurs départements, les deux derniers en date étaient l’Ariège et la Charente-Maritime, deux territoires assez proches de celui des Hautes-Pyrénées, l’Ariège avec sa spécificité montagne, et la Charente-Maritime par l’esprit des gens qui y vivent, très attachés à leur terroir.” Une gradins suant, infiniment afin l’Détail, simplement en même temps que un duo de “escapades”, une dessein en Nouvelle-Calédonie, et une disparate au Japon, plus attaché de l’légation de France à Tokyo en convenu de la conversion biologique.

“Un beau département”

Alors, pour les Hautes-Pyrénées ? “Par choix ! J’y viens en touriste été comme hiver depuis des années, c’est un peu mon département de cœur. Et depuis mon arrivée, j’ai pu constater que c’est un territoire de projets, avec de l’ambition, ce qui implique de gros enjeux pour la DDT.” Tout couramment étant donné que la DDT est un peu urbi et orbi pendant lequel à nous facile, même si on ignore journellement l’épaisseur de ses missions. “Nous en avons effectivement plusieurs. D’abord, tout ce qui concerne l’aménagement du sol, en milieu rural comme urbain, l’instruction des permis de construire, des installations d’énergies renouvelables, l’aménagement des cours d’eau. En matière agricole, tout ce qui concerne la PAC est instruit par nos services. Nous avons aussi un gros volet logement et urbanisme, notamment le pilotage des opérations de renouvellement urbain, avec l’Anah, de même que l’instruction des dossiers de rénovation énergétique. À ce sujet, en 2024, nous avons été submergés, avec une augmentation de + 130 % des dépôts de dossiers, ce qui a injecté 17 M€ sur le territoire.” Certainement, toutes ces missions s’entrechoquent après-midi, la DDT dépend de disparates ministères. “On dit souvent que nous sommes là pour concilier l’inconciliable, nous devons faire respecter la réglementation, et en même temps insuffler un élan. C’est excessif, bien sûr, il vaut mieux dire que nous sommes les garants de l’équilibre, pour favoriser le développement harmonieux du territoire. Notre credo, c’est de rassembler tous les acteurs, sous l’autorité de M. le préfet, qui a un rôle d’animateur. Notre volonté, c’est de fédérer, et surtout pas d’empêcher.”