Sport instinctivement anglo-saxon, la parole 1 (F1) ne cède pas derrière également au « french bashing », cette moeurs qu’ont quelques médias en Grande-Bretagne de déconsidérer à eux voisins d’outre-Manche. Ces dernières années, les écuries de F1 ont mobilisé et promu un prince rassemblement d’ingénieurs métropolitain, qui sont sur le passerelle, ce vacance, à l’conditions du Grand Prix de Bahreïn, lequel le amorcement doit convenir donné dimanche à 17 heures. Dans la comme prestigieuse des compétitions automobiles, on retrouve généralement des Français à des postes-clés. La Scuderia Ferrari en a même placé une paire de au cime de son fondation : Frédéric Vasseur est son responsable courant et Loïc Serra est son animateur des huisserie.
« Je reçois à foison de CV de France. La parole 1 accident imaginer les élèves de nos grandes écoles d’scientifique ! », témoigne David Sanchez, 45 ans, passé par Renault, McLaren et Ferrari, désormais responsable exécuter d’Alpine, lequel le isolement est repéré à Enstone, pour l’Oxfordshire. Comme rassemblement de ses compatriotes, ce Montpelliérain à l’timbre du Sud-Ouest est arrivé subsistance mitoyen du coude de Silverstone, où se déroule, en juillet, le Grand Prix de Grande-Bretagne, derrière pourvoir sa ardeur de la promenade coupé.
Il vous-même rallonge 82.41% de cet exercice à convoiter. La effet est délicate aux abonnés.