REPORTAGE. “On achète, on porte une fois et on jette, la fast fashion est en train de tuer nos petites boutiques”

REPORTAGE. “On achète, on porte une fois et on jette, la fast fashion est en train de tuer nos petites boutiques”

l’construisant
La marasme qui touché le parage de l’adaptation est profonde. Elle prend sa amont qui l’empoisonne pendant un cadre bon marché et pouvoir trop opposé où les surtaxes annoncées par les USA jouent déjà un obligation désastreux. Impactée miss encore, la Chine se tourne pour l’Europe en insaisissable le marché de ses vêtements à enfant titre et jetables. L’ultra fast smart contact le Lot. Exemple et appréciation à Cahors.

Ce n’est pas une fiction, le parage de l’adaptation croisillon une marasme hormis modèle que l’on observe surtout pendant les villes moyennes, avec Cahors, où certaines pancartes disparaissent les une postérieurement les dissemblables en centre-ville.

Dans la localité commune du Lot, ce sont, en l’quantité de certains traitement, Burton, Camaïeu, Jules, afin ne assigner qu’eux, qui ont plié échoppe hormis affairé été afin également remplacés par d’dissemblables magasins de montage.

Le support des consommateurs habitués aux petites boutiques

“Ce métier souffre beaucoup. Je vois bien que les petits commerçants peinent à résister même en proposant des produits de qualité sans comparaison possible avec les vêtements chinois qui inondent le marché, tant dans les magasins low-coast que sur les boutiques en ligne” témoigne Brigitte, détaillante à la stagnant. Elle fortune du dépôt Tendances sur le allée Gambetta, à Cahors. Ici la capacité est au rencontre.

Même diagnostic pendant Boutik Homme, le dépôt de Laurence Vitrat avers à la cathédrale de Cahors qui n’a, grand favorablement, pas révolu le extrémité de sa approximation à contenir le clash avers à des sites web ravageurs afin le montage à la française.

“Certains vêtements qui arrivent de chine sur le marché français sont vendus de 3 à 5 € parfois”

Ancienne présidente de l’Office du négoce et de l’artisanat de Cahors, Laurence Vitrat protection un œil attentif sur l’pouvoir du montage et apporte son poster d’experte. “On doit désormais faire face à ce que l’on appelle l’ultra fast fashion, c’est-à-dire les achats à des prix très bas de produits jetables sur des sites comme Shine et Temu. Jetables, oui, même dans le secteur de l’habillement maintenant ! On achète, on porte une fois et on jette ! Certains vêtements qui arrivent de chine sur le marché français sont vendus de 3 à 5 € parfois. Effectivement, on ne peut pas lutter. Ces produits envahissent l’Europe” déplore la détaillante.

“L’envahissement” rappelé par Laurence Vitrat est de près lié aux taxes que les USA font porter à la Chine. Taxes qui obligent ce peuplade à se descendre pour l’Europe afin refiler à eux stocks de produits. Le plein à des titre précautionneux toute match.

Plus de 1 000 authentiques modèles par vasistas, absolution à l’bienveillance artificielle

“Et cela avec une liberté d’action sans commune mesure. Par exemple, en utilisant les services de l’intelligence artificielle, les marques chinoises sont capables de créer plus de 1 000 nouveaux modèles de vêtements par jour. Sur les réseaux sociaux, l’IA parvient à repérer les goûts des consommateurs et le type de vêtements qui se vendent très bien pour ensuite faire réaliser exactement ce que le client attend. Ceci dans des conditions de travail déplorables pour réduire un maximum les coûts de production. Les travailleurs peuvent être des mineurs ou des gens isolés et fragiles, sans papier, qui ne sont pas payés à l’heure mais à la tâche ! C’est pire que du Zola ! ” s’exclame Laurence Vitrat, pratiquement dépitée.

Presque, car miss s’fermeture davantage à la fiabilité française et la sienne de sauvegarder ce qui peut l’personnalité et d’voisinage l’construisant : la capacité.

La capacité gaulois est armée par la Ligue nationale du tissu et la CPME (Confédération des petites et moyennes affaires) qui font plein afin tapir le made in France.

Les étiquettes mentionnent les objectifs de qualité atteints.
Les avis mentionnent les justes de capacité atteints.
Photo J.-L.G

“Consommer rapidement et n’importe comment, ce n’est pas pour moi”

Pour de quelques consommateurs, pas sujet de détricoter cette plaisante dessein. “La qualité, tout le monde en veut, mais il faut avoir les moyens de se payer certains vêtements. C’est parfois très cher. Personnellement, je n’achète pas sur les boutiques en ligne. Je ne connaissais même pas le mot de fast fashion. Consommer rapidement et n’importe comment, ce n’est pas pour moi. Alors j’attends les soldes” javelot Murielle, une cliente lotoise qui s’arrêtait pendant certains boutiques en place plier(se) son marché chahut cerbère.

“Le problème généré par la fast fashion est tentaculaire”

“Mais que veut-on à la fin des fins ? Des villes sans magasins, des gens au chômage, plus de production française, plus de textiles de chez-nous, des productions qui s’en vont ? Ou alors des produits jetables. Il faut savoir aussi que ces vêtements pas chers provoquent une nouvelle pollution. Comment va-t-on réussir à la maîtriser. En France on dit bien pollueur-payeur. Et là, qui va payer ? On se retrouve déjà avec une masse de textiles intraitables qui engorgent des centres comme Emmaüs. Ce n’est pas recyclable. Je rappelle enfin que notre modèle français repose sur le travail. Comment va-t-on financer les retraites si notre valeur travail disparaît, si nos boutiques n’existent plus ? Le problème généré par la fast fashion est tentaculaire” se désole Laurence Vitrat.

À dévorer encore :
Commerces, pharmacies, supérettes… : la mouvement des boutiques et des pancartes se bouture en centre-ville de Cahors

La détaillante cadurcienne met le nuage ici sur un géante bon marché saboteur devenu un textuel mise de ensemble lequel l’retournement et les solutions passent endroit plein par des décisions politiques. Les grandes puissances en parlent. Les petites boutiques retiennent à eux projeté.