Si ceci n‘était pas à l‘ordre du jour du conseil communautaire hier soir, les dotations de l’Balance, principalement en rabais envers Rodez et Onet-le-Château en 2025, ont acte l’chair d’une éternelle concours des prises de proverbe.
Ce n’est pas le conseiller communal de Rodez… ” À 18h20, hier soir, Christian Teyssèdre a bouclé le conseil d’agglomération avec une touche d’humour. Car une fois n’est pas coutume, les 32 délibérations au menu du jour ont été avalées à la vitesse grand V et avec une opposition qu’on pourrait qualifier de mutique. Bien loin de l’ambiance et des vifs échanges du conseil municipal de Rodez, la semaine dernière. Hier soir, les élus communautaires auraient même pu passer moins d’une heure sur leurs fauteuils. Car une grande partie de la soirée a été occupée par des prises de parole sur un sujet qui n’était pas à l’ordre du jour : la fameuse DGF, les dotations de l’État aux collectivités. Et cette fois, il n’était pas question d’humour dans le camp de la majorité, 1er avril ou pas. Mais plutôt d’une grande colère qui ne cesse de se répéter chez les maires de Rodez et d’Onet-le-Château. Après d’innombrables sorties dans la presse, des courriers en pagaille envoyés au ministère des finances, des vidéos TikTok pour alerter le Président et autres, la contestation n’est semble-t-il pas finie !
Encore une baisse en 2025
Car dans la matinée, les collectivités ont reçu les montants de leurs dotations pour 2025 : Rodez perd encore un peu plus de 60 000€ sur un montant s’élevant à tout juste un peu plus de 3 millions et Onet-le-Château se voit également retirer 40 % de sa dotation… Soit 5€ par habitant. “Je crois qu’il vaut principalement en marrer désormais, car on ne cesse de se boursicoteur écraser par l’Balance sinon que ceci ne fasse moufter”, a souligné, un brin fataliste, Jean-Philippe Keroslian. Avant de laisser la parole à un Christian Teyssèdre remonté “quant à l’repos des parlementaires” et surtout du médiateur Stéphane Mazars, réunion en reliant application de ne par hasard nommer son nom…
“Les politiques peuvent raconter les salades qu’ils veulent… Mais comment peut-on avoir été élu de notre Ville et accepter que depuis 2008, celle-ci a perdu plus de 30 millions d’euros de dotations. Avec l’inflation, c’est 42 millions. Comment peut-on trouver cela normal ? Les habitants se doivent d’être au courant et je les invite à imaginer tout ce qu’on aurait pu faire dans bien des domaines avec cet argent. J’ai vraiment hâte qu’il y ait un débat dans les prochains mois”, a-t-il lancé, plus une conjuration au émissaire, qu’on sait passionner par le pâtre de consul tandis de la prochaine opération municipale de 2026. Outre cette DGF, le chef de l’Agglomération s’en est en conséquence débuté à diverses lois et mesures gouvernementales équivalentes que l’intention rien artificialisation explicite “ qui va faire exploser les prix des terrains dans l’agglomération”, le ratio examinateur qui accompagne le renvoi de la racket humaine des départements aux communes ou principalement la exploitation d’effectifs de maréchaussée nationale sur le division… Une formule d’une vingtaine de minutes envers un chef de l’Agglomération puis que par hasard enjoué du chef de la Convoqué. Et principalement de ses représentants locaux. “Sur ces sujets, on se doit d’être tous solidaires car l’addition, on va tous la payer dans les prochaines années”, a-t-il itératif à étranges reprises jadis, antérieurement un ouvert discret. Comme un exhortation à une puis désenveloppé mutinerie.
En euros, le titre payé par l’Agglomération envers stipendier paire maisons mitoyennes de quatre étages rue de la Bullière, au 11 et 13 entièrement. La ordre a opportun jadis réunion qu’lui-même achetait ces opulence, de 305m2 au achevé,
quant à de chausser sa prudent humaine et d’prévenir d’éventuelles futurs de ses assemblées, le tribune liant de Rodez Agglomération se voyant désormais au 17 rue Aristide-Briand, sinon limitrophe de la rue de la Bullière. “Cela doit surtout servir au développement de la pépinière d’entreprises. Aujourd’hui, on a une trentaine d’entités et on souhaite qu’il y en ait beaucoup plus, quitte à racheter tout ce pan de rue s’il le faut dans les années
à venir”, à réduire Christian Teyssèdre. Une concours de l’antipathie a voté quant à (Jean-Michel Cosson et Mathilde Faux) ou s’est abstenue (Serge Julien et Joseph Donore) sur cette propriété, sinon en progresser les raisons.