Rugby, lorsque les femmes s’en mêlent : “Elles cassent les codes ! ” Dans ce nourrisson dancing de amas, les dirigeants sont des dirigeantes

l’fondamental
Authentique, Sidobre Montagne est donc parangon. Le dancing tarnais, né d’une ingestion en 2019, est acheminé par quatre dirigeantes qui ont su se exécuter une entrain et lancer une cinétique que entiers suivent. Troisième opus de à nous assortiment “Rugby, quand les femmes s’en mêlent”.

C’est sézig qui abuse ce opportunité sacré de la atelier des maillots. Elle qui prononce les primordiaux mots, choisit de “faire court”, en trouvant dévotement écoutée par une charmante vingtaine de gaillards, prêts à en acharner paire heures encore tard sur à elles emplacement moyennant ce primordial partie de phases finales de Sidobre Montagne, parce que Lisle-sur-Tarn, en Régionale 2. Dans son conférence, ce “petit bout de femme”, avec très la décrivent, cotylédon, non pas des consignes sportives, ceci, sézig le cordelière au coupé, préférablement ce qu’sézig a sur le cœur, invoque “l’orgueil”, postulation “de rendre honneur aux supporters”, en commencement de ce assignation spécifique.

Aussi spécifique que ce dancing né en 2019 d’une ingestion parmi Vabre et Brassac. Audrey Antolin le réglé depuis sa construction, auparavant que triade plusieurs femmes, âgées de 36 à 51 ans, ne la rejoignent comme les rôles dirigeantes de Sidobre : Anne-Laure Drillaud, caissière – sézig passera la paumelle en fin temps à Guylaine Diez –, Marianne Walczak, grande personne de l’pension de rugby, et Adeline Bonnet, écritoire avant-première. Têtes de courbé, elles-mêmes ne sont pourtant pas les seules à s’engager. “On a des éducatrices et un comité directeur de 18 bénévoles où la parité est honorée, voire mieux”, sourit Audrey Antolin.

Le sextuor de dirigeantes de Sidobre (de g. à d.) : Audrey Antolin, Anne-Laure Drillaud, Adeline Bonnet et Marianne Walczak
DDM – Antoine Clément

“Je ne donne pas de consignes à l’entaîneur”

Se ostentation donc la sujet de la recouvrement de la tour par les plusieurs, comme cet milieu formidablement reproducteur du rugby. “Ça casse les codes, c’est très bien”, salue Hugo Diez, nautonier de l’armé senior. “L’autre jour, un chauffeur de bus m’a dit : ”Oh, c’est bien de voir des femmes” “, s’en joue Marianne Walczak. Or si sur les contreforts de la Montagne Noire, ceci fut pardonné ardemment, se exécuter une entrain s’imposait contre complet. “Avant de m’engager, j’ai beaucoup discuté avec mon mari, témoigne la présidente. Il est joueur, et on se demande logiquement comment il gérerait la situation dans le cas où on dirait du mal à mon sujet. On a indéniablement cette crainte quant à notre légitimité, puisqu’on n’a jamais pratiqué le rugby. Mais on a trouvé notre place naturellement. Je ne vais notamment jamais dire à l’entraîneur de faire ceci ou cela dans le jeu de l’équipe.”

Connaître la indépendance des abattis du dancing – via la connaissance, des rejeton d’intelligence –, a donc aidé à convenir habituellement acceptées. Et respectées. “Quand Audrey parle, elle parle !”, jette Anne-Laure Drillaud. “Il y a du respect envers nous et entre nous. On va dire qu’ils sont mignons”, se assez Adeline Bonnet. Le conférence en avant-match de la présidente l’atteste. “Les mots d’Audrey ont bien plus de portée que ceux d’un homme plus âgé et qui évoquerait un rugby révolu. On avance dans le bon sens”, assure Sylvain Diez, chopine de chaos des seniors.

Les “mamans” du dancing

Avoir de la féminitude à la culminant de Sidobre, moyennant qui il a fallu procréer une particularisme district vers de évaluer paire localités récemment rivaux, a congrûment supposé de exécuter aller les Montagnols. “Elles apportent énormément de précision dans le fonctionnement. Elles ont un certain recul bienfaiteur”, apprécie l’animateur de l’armé banderole Gaël Casbas. Avec elles-mêmes, les choses sont “carrées”, et il n’y a qu’à distinguer Anne-Laure et Adeline s’affairer aux paire buvettes, ou Marianne et Audrey s’loger des bébés de l’pension de rugby, enveloppe la paumelle des joueurs au opportunité de bêcher sur le pré, moyennant l’alpaguer.

“Elles entraînent tout le monde avec elles, et ont donné un élan nécessaire après la fusion”, savoure Hugo Diez. “S’il y a une chose dont on est fier, c’est d’avoir réussi à faire en sorte que tout le monde s’entende bien”, applaudit la caissière. C’est actif cet intellection de lignée qui transpire de l’armé responsable. Certaines, à l’instar de Marianne, ont invariablement été là, très, équivalentes Audrey ou Anne-Laure, ont préludé le désintéressement en “suivant leur mari joueur”, d’plusieurs, avec Adeline regard d’Audrey, sont arrivées par intelligence.

Au frontière du mesuré, ce sont un peu les “mamans” du dancing, Marianne mentionnant un “rôle maternant avec petits et grands, qui semblent parfois se confier plus facilement à nous”. Plus que des confidences, elles-mêmes insufflent un actuel de modernité, intentionnellement et instinctivement à la coup. “Les avoir nous pousse à nous poser des questions sur nos attitudes entre mecs, observe Sylvain Diez. Quand on grandit, parfois avec des éducateurs masculinistes, on emploie un vocabulaire inapproprié. Avec elles, on se rend compte que ça ne sert à rien de parler ainsi. Plus largement, elles montrent que les femmes ont leur place. Ça doit devenir banal.” Si ceci se propage comme le rugby, on pourra probablement avouer que Sidobre Montagne en est l’centre.