Le crack slovène sera premièrement de la historique épreuve belge, ce dimanche 6 avril. Il décrit un temps dense, sur quelques aspects, au poitrine du union.
À une paire de heures du Tour des Flandres, Tadej Pogacar s’est illustré sur un hétéroclite occasion que icelui des performances sur son clou. En rencontres de fondé, le triple gagnante du Tour de France a livré une agression rien évitement pour les réseaux sociaux, remarquable à eux percussion empesté sur la personnalité mentale des coureurs.
“Les réseaux sociaux, c’est le cancer de notre société”, a-t-il en conséquence lâché. “On peut y passer toute la journée, et même s’il y a du positif, ce sont toujours les choses négatives qui ressortent le plus. Ça peut vraiment ruiner votre journée” a-t-il témoigné entrée à méconnaissables journalistes entre desquels ceux-ci du média spécialisé CyclingNews qui rapporte les déclaration. Une conquête de dicton qui intervient au hasard où son adversaire Wout van Aert inespéré un coulée de décisifs ultérieurement des résultats en demi-teinte sur les classiques.
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Pogacar préfère engloutir du régression : “Le plus simple, c’est de ne pas s’en soucier, de ne rien lire et de rester en dehors de ça.” Et entrée aux journalistes : “Ce n’est pas contre vous, mais ça ne vaut pas la peine de suivre l’actu et les réseaux.”
Il a de la sorte délicat à prohiber Van Aert, malmené ultérieurement l’E3 Saxo Classic et Dwars door Vlaanderen : “Wout court toujours pour gagner. Perdre un sprint trois contre un, c’est dur, mais ça fait partie du cyclisme. Il va rebondir. Flanders est son objectif principal, il sera fort dimanche.”
S’il n’a pas vu la dernière épreuve du Belge, Pogacar souligne une “petite erreur tactique” de l’escouade Visma, cependant appoint avisé : “Ils étaient confiants, mais Neilson Powless était juste plus fort à l’arrivée.”
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Entre compression médiatique, embuscades virtuelles et défis sportifs, Pogacar choisit de persister centré sur l’organisant : “Je veux juste faire ce qui me plaît dans le cyclisme. Le reste, je laisse de côté.”