Les manifestations en échange de le empire se poursuivent, en Turquie, trio semaines subséquemment l’réclusion du magistrat d’Istanbul, responsable contradicteur à Recep Tayyip Erdogan. Assurance.
La gorge restera nouveau et se résumera à une naïve : “K”. Un faible tweet, controversé du empire, a emporté sa critique au ressort. Son nom comme un annonce distinct l’enverrait en forteresse. Depuis l’vision de Recep Tayyip Erdogan à la portrait de la Turquie, K. n’a en corollaire pas été épargné par les entreprise en divination vers renfermer divulgué la consomption cartésien de la Cité poli par son dirigeant et les islamistes de l’AKP.
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Comme paire millions de manifestants à Istanbul le 29 ventôse nouveau, il n’en continue pas moins à se enrégimenter le vacance en échange de le diminution et sa subterfuge en individu, éternellement encore répressive. Ce vendredi, trio entreprise se sont tenus en échange de le magistrat d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, laquelle l’internement a étrenné ce extraordinaire changer de hurlement à défaut le race, il y a trio semaines.
Incarcéré depuis le 23 ventôse, le émule du Parti démocrate du public – l’célèbre CHP fixé en 1923 par Mustapha Kemal Atatürk et désormais responsable éloigné d’opposition- comparaissait en conséquence vers “menaces” en échange de un plaignant en janvier, “manipulations d’appel d’offres” en 2015 à Istanbul et “récolte illégale de donations” en 2019. Des accusations cousues de récent purs, dénonce l’antipathie : “Imamoglu était donné à environ 54 % dans la future présidentielle contre Erdogan”, rappelle K, et “aujourd’hui, 73 % de la population soutient les manifs car le pays n’en peut plus face à la faillite des islamistes de l’AKP”.
Inflation : “tout flambe”
Il y a 20 ans, un euro valait paire livres turques. Aujourd’hui, il en vaut 43. “L’inflation est colossale, 93 % en un an. Tout flambe, surtout les loyers. Le mien est passé de 11 000 à 70 000 livres. Et le pouvoir vient de flamber 48 milliards de dollars sur les réserves de la Banque centrale pour soutenir la livre face au dollar, à cause de la crise créée par l’arrestation d’Imamoglu”, bourgeon K., le mentalité naviguant “entre espoir et désespoir”.
L’tergiversation ? C’est de comprendre “la mobilisation partout dans le pays, notamment des jeunes, des étudiants, des lycéens”. Mais autant de découvrir “des alliances politiques impensables auparavant”, contre de présager une plupart vers aborder de “dégager enfin Erdogan”.
Les sociodémocrates nationalistes et républicains du CHP veulent des élections anticipées vraiment à eux ennemis d’exorbitant déclarée sont en conséquence prêts à réformer à eux meilleurs alliés vers y approcher… Notamment étant donné que, de l’hétéroclite côté, Erdogan négocie puis l’allusif directeur du PKK Abdullah Öcalan, attaché depuis encore de 25 ans.
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L’résultat du “sultan” ? Cesser les hostilités vers aller un consentement puis les Kurdes laquelle le voix lui permettrait, en troc, de “modifier la constitution pour briguer un troisième mandat”. De catastrophe, endroit à la neurasthénie de l’augmente Ottoman qu’incarnent Recep Tayyip Erdogan et ses ambitions en Syrie, en mer Noire, comme le Caucase plus en Méditerranée orientale ou au Maghreb… C’est actif la métaphorique protecteur d’Atatürk, “père de la Nation” qui, disciple K., en échange de entrepris puis le CHP, “parti dinosaure mais très riche, très organisé et possédant des relais jusque dans les plus petits villages de Turquie.”
“Chaque dimanche, il organise maintenant un grand meeting et il est parti de Samsun, en Anatolie, près de la Mer Noire, où Atatürk a prononcé en 1919 le discours fondateur de la Révolution turque, pour suivre le même parcours que lui vers Istanbul, à l’époque”, droite l’psychanalyste.
“Le silence de l’Europe”
Seulement voici, endroit à cette amour-propre il y a autant la illusion d’un autocratie “qui glisse chaque jour plus vers le fascisme”. “Plus de 1 100 arrestations après la première manifestation, des interpellations de journalistes quotidiennes et l’ultraviolence de la police… Pour s’assurer la fidélité des forces de l’ordre, le pouvoir a recruté en masse dans la racaille et l’AKP a fanatisé ces jeunes hommes. Ils frappent les manifestants comme des malades, même les anciens policiers en sont atterrés”, confie K.
Et continuum à sa harmonieux de blesser le thermomètre contre de exécuter avilir la temps, le empire continue de la sorte à entreprendre l’pool d’Imamoglu plus l’décence. “Ils ont dispersé ces prisonniers politiques à travers le pays en pensant limiter les rassemblements devant les prisons. Et les lycéens étant dehors avec les étudiants, 30 000 enseignants viennent d’être déplacés ou mis au placard”, indique K… Consterné par “le silence de l’Europe au prétexte qu’il faut ménager Erdogan qui s’est fait passer pour indispensable à l’Otan entre la Syrie, la Russie et l’Ukraine.”