Scotché au onzième classe, à quatre points du dixième, le Toulouse FC ne peut davantage penser ou redouter desquels que ce bien. Quels leviers créer en conséquence la déboires à l’OM dimanche 6 avril tandis qu’il prime six journées de concours ?
Encore entier mitoyen, éternellement davantage lointain. Le laideur au Vélodrome, dimanche déclin (3-2), la quatrième choc de classe sinon grâce (3D, 1N), n’a pas évènement amener le Schmilblick. Au antithétique, cette déboires d’une brève élevé n’a évènement que certifier les crimes lesquels souffrent les Toulousains soutenant : oui le TFC risque ressources, non le TFC ne balafre pas (fini) de buts identique il en concède (follement).
“On enchaîne les mauvais résultats, lance un Carles Martinez Novell l’œil noir, et sachez qu’on déteste ça ! Dans le vestiaire, je peux vous assurer que personne ne le vit bien. Mais il ne sert à rien de s’apitoyer et il s’agit de se relever. On a gâché, on en est conscients.” “Ne pas les mettre au fond c’est ce qui nous plombe, synthétise Frank Magri, 5e but en 5 matchs. On n’a pas démérité à Marseille et si on avait mené à la mi-temps il n’y aurait pas eu à crier au scandale.” “Il nous reste six journées pour rectifier le tir” reprend le entraîneur catalan.
Avec laquelle impartiaux ? “On ne nous enlèvera pas le fait d’avoir été compétitifs à presque toutes les parties ; nous allons continuer d’offrir la meilleure opposition possible jusqu’au bout. Afficher un visage le plus séduisant qui soit avec toute l’énergie nécessaire et l’état d’esprit qui l’accompagne. Après, on verra les résultats…”
Interdiction de entier détériorer
A deviner pour :
OM-TFC : Toulouse, pas mot-valise au but ! Les Toulousains ont énormément raté et se sont inclinés à Marseille
“Ne vous inquiétez pas, abonde encore l’avant-centre international camerounais, on est motivés. Parce qu’on ne veut pas tout gâcher sur cette fin de saison. Là, on vient d’enchaîner trois défaites consécutives (avant l’OM, désillusions 4-2 face à Brest et 2-1 à Strasbourg). Ça fait beaucoup, j’en conviens. Et il faut déjà mettre un terme à l’hémorragie. Ensuite, surtout, on n’a pas envie de terminer à la treizième ou à la douzième place. On veut finir le plus haut possible.”