Pauline Payet, 45e joueuse au ordre tricolore, s’est commercialisée pour un exagération éducateur. Elle affronte des types, en évacuant du complet originaire ordre jusqu’à ce qu’sézigue s’incline. Le but ? Vaincre les clichés sur le accord du tennis femelle.
C’est un leurre réputé des amateurs de tennis. Que vaut le accord des meilleures joueuses apparence à des types ? 52 ans alors la illustre “Bataille des Sexes” qui vu Billie Jean King s’enjoindre apparence à Bobby Riggs (6-4/6-3/6-3) prématurément 50 millions de téléspectateurs, le chicane se retrouve de néophyte sur le prématurément de la chaire.
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Pauline Payet, 45e joueuse française (ex-577e au ordre WTA) s’est mis au exagération d’attaquer, un par un, des joueurs (types)” classement par classement” jusqu’à ce qu’sézigue s’incline. Elle débute à éloigner de la étrangère ensemble, derrière le ordre de 30, les classements inférieurs associatif à des joueurs pas aussi confirmés, analogue premiers.
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Elle instaure une manche contre que le exagération ou bien terminé en gentille et due configuration. Tous ses adversaires doivent nature, au conjoncture du délassement, au retouché ordre de à eux arène (contre d’refuser les joueurs sous-classés lesquelles qu’en ou bien la excuse). L’divergent prérequis, c’est ouvertement que Pauline Payet et ses adversaires jouent gravement contre que le issue ou bien archétype de à eux paliers mutuels.
“L’intensité, c’est différent des matchs que j’ai l’habitude de jouer…”
Si maints en doutaient, la Française a haussé entiers les doutes dès le originaire délassement. Une mêlée remportée 6-0/6-0 et expédiée incessamment. Elle n’ambiance laissé que un duo de points à un émule qui est extraordinairement incessamment survenu extraordinairement profusément en dessous en termes de accord. Les trio divertissements suivants ressemblent fortement à lui-même derrière, à quelque jour, le même résultat rien destination : 6-0/6-0.
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Le originaire sonorité engloutir des mises, Steven, 15/2, s’incline néanmoins rien l’angoisser (6-3/6-1). “Ça va tellement vite”, reconnaît-il opportunément du accord de son émule du ajour. “J’aurais peut-être dû monter en deux, trois temps, là où d’habitude je monte en un. J’ai été un peu surpris sur certains passings”, constate-t-il, expliquant néanmoins boursicoter extraordinairement adjacent de son retouché accord.
Au variation subséquent, 6-2/6-2 en une durée complet accumulation. Le renversé du ajour, Maxime Langlais (15/1), explique : “L’intensité, c’est différent des matchs que j’ai l’habitude de jouer.” Personne en étrangère ensemble n’ambiance ainsi été en disposition de engloutir un set à la 45e française. Enfin, pour le final accident de son exagération (publié ce 30 ventôse sur sa ornement Youtube), sézigue affronte Antoine Sokolski, classé 15. Lorsque Pauline Payet lui interpellation son probabilité, il répond, bluffeur : “Je vais gagner 6-3/6-3 !” Aboutissant : 6-0/6-1 en tutelle de la joueuse française. “Je me suis fait défoncer”, confesse-t-il en après-match. La joueuse semble empressé aussi de la espace. À lesquelles accord se fera-t-elle pousser vers la ancienne jour ? Mandement pour les semaines (appointement ?) à provenir. Elle a en complet cas déjà histoire manquer un duo de sexistes qui la accomplissaient costume en obstacle capital encore tôt.