François Piquemal (LFI) accuse la municipalité de souhaiter rayer les fresques mandataire les visages de couple activistes écologistes à la Cartoucherie. La commune cinglé. Une discussion escalade de toutes barriques ?
“On espère que c’est une blague”. Sur le entrecroisement courtois X (jadis Twitter), le estafette NFP François Piquemal s’est fissuré d’un post plainte à l’pudeur des équipes de Jean-Luc Moudenc, à elles reprochant une imaginaire arbitre d’rayer des fresques mandataire les activistes écologistes Camille Etienne et Léna Lazare, peintes sur les murs des Halles de la Cartoucherie en 2024.
On espère que c’est une malice
À Toulouse l’formation de M.Moudenc souhaiterait tasser(se) tronquer les fresques des militantes écologistes @CamilleEtienne_ et @LenaLazare
Peu abracadabrant de la fraction d’un consul qui andouiller des tribunes climatosceptiques et qui soutient l’A69 pic.twitter.com/eVxYug3C0q
— François Piquemal (@FraPiquemal) May 15, 2025
“J’aurais simplement préféré qu’on aille sur autre chose”
“Il ne s’agit pas de cela” explique Nadia Soussi, consul de tronçon de la Cartoucherie. “J’ai été surprise de découvrir ces fresques, qui affichent les visages de militants accompagnés du symbole des Soulèvements de la Terre. Pour moi, elles ne reflètent pas l’identité de notre quartier. Je ne comprenais pas ce message de désobéissance civile, alors même que nous sommes dans un écoquartier qui vit bien ensemble. Nous avons énormément de réunions, d’échange et de respect malgré des opinions politiques divergentes. J’aurais simplement préféré qu’on aille sur autre chose” détaille-t-elle.
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“S’il voulait faire passer cela pour du sexisme, c’est loupé”
“Je suis assez surprise par le post de M.Piquemal. D’une part parce qu’il s’est bien gardé de parler du troisième visage en ne parlant que de ceux des deux femmes. Je ne sais pas s’il voulait faire passer cela pour du sexisme, mais c’est loupé, puisque c’est moi qui me suis émue de voir ces portraits. Et puis, il n’y a rien qui soit mis en place pour faire enlever ces œuvres. Les Halles sont un établissement privé, ce qui signifie qu’on ne peut, de toute manière, pas les forcer à enlever ces portraits. C’est comme si on voulait interdire à quelqu’un d’accrocher un tableau chez lui. Nous n’en avons pas le pouvoir” la consul.
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“J’ai fait remonter ce que les habitants me disent”
Interrogé continûment de sa livraison, François Piquemal a assuré faillir, derrière l’durée, d’informations à ce porté : “J’ai fait remonter ce que les habitants me disent justement pour susciter une réponse de la mairie. Le fait que Madame Soussi se soit émue de voir ces activistes sur les murs des Halles est révélateur de leur écologie passive. Mais si elle s’engage à ce que ces fresques restent sur les murs, alors j’en serai le premier ravi”.