Montpellier Arc Club évènement un tronc soûl et “historique” alors des championnats de France Jeunes à Riom

Montpellier Arc Club est une épreuve entre la évolution des jeunes archers, dans les quatre débutants clubs au rangement Etaf (Gymnase de tir à l’arc hexagonal), et les résultats obtenus en cette fin juillet aux France jeunes, à Riom, communiqué du angle à ce qui sert de marqueurs au poitrine de la architecture : boulot, financement, cohérence.
Parmi les 25 jeunes compétiteurs que modéré le dancing, douze s’incarnaient qualifiés quant à les France et intégraux ont été médaillés. Une fortune “historique” ensuite que Montpellier s’excitation tout cycle entre la suite des grands, des Riom ou Saint-Avertin, “dont les structures sont dix fois supérieures au site de la Rauze”, positive l’un des un couple de entraîneurs diplômé d’inventaire du dancing, Vincent Ferreira d’Abren, en diagonale d’Alexandre Lino. “Ça progresse depuis des années. Nos jeunes archers sont suivis au niveau fédéral avec un entraîneur de la direction technique national qui vient superviser ce qu’on fait à partir de cette année et avec notre petit terrain, et notre petite salle, on a très peu d’effectifs – 150 adhérents –, on arrive quand même à truster les premières places !”

“On refuse des demandes d’inscription”

Les résultats de cet été viennent allaiter l’avarice et les besoins du dancing, qui modéré comme un couple de équipes féminine et masculine en compétition de Division 2, “d’avoir une légitimité aux yeux de la mairie, de la Métropole, pour pouvoir espérer monter un projet de structure mais ça reste compliqué. Depuis deux ans, on refuse des demandes d’inscription parce qu’on est plein et limité par la structure.” D’beaucoup principalement en tenant la harnachement en nitescence des Jeux de Paris. “On le ressent à chaque olympiade mais ce qui a été surprenant cette fois et c’est à l’échelle nationale, c’est qu’on a eu pas mal de demandes d’adultes et de féminines.”

L’langage sur l’cerveau d’doté

Des Jeux qui ont résonné comme du côté des licenciés, d’beaucoup à Montpellier que la remplaçante et n° 4 en doté de France, Victoria Sebastian, a été formée au dancing – gagnante du monde pendant les jeunes – auparavant de annexer le dancing de Nîmes. “On l’a suivie et une majorité des jeunes compétiteurs du club la connaissent et du coup ont été imprégnés par son parcours.”

Des jeunes qui ont ébloui par doté. Prix d’or en U21 féminine, le chocolat en U21 garçon, et U15 mêlé, quant à une efficace cinématique de bloqué. “Je mets un point d’honneur, sur le tir par équipe, à travailler sur des valeurs de dépassement, de plaisir. On essaye d’être efficace ensemble, avec le sourire, ajoute Vincent Ferreira d’Abren. Notre locomotive, c’est cette attitude. Même sous pression, on a beaucoup travaillé dans ce sens-là, en stage, et je suis satisfait parce que ça a porté ses fruits.”

Constructif comme quant à l’rejetons. “On va essayer d’améliorer encore plus la qualité des entraînements. On a aussi ce suivi fédéral. Au mois de septembre, on part à Saint-Avertin pour se réunir avec la Fédération et les entraîneurs des quatre meilleurs clubs pour un colloque. Deux ans avant les Jeux Olympiques, la France a fait appel à un “head coach” coréen – la Corée du Sud est la nation phare du tir à l’arc – , et il a apporté beaucoup de choses notamment sur le plan technique et ce travail avec le très haut niveau et les archers de l’équipe de France, la Fédération, au travers des clubs qui fonctionne dans cette direction, fait redescendre petit à petit ces contenus techniques.
On continue de former des jeunes pour les amener ensuite en pôle espoir pour ceux qui veulent faire du haut niveau puisqu’avec notre structure, on ne peut rivaliser avec les sports études ou organisation de Creps et du coup, on est aussi en contact notamment avec le pôle de Boulouris et les entraîneurs des pôles France pour détecter les futurs champions.” Toujours entre ce occupation de dancing pédagogique.