Un fric-frac extraordinaire a eu recto dimanche 19 octobre gaillard, peu ultérieurement l’ajour du Louvre, puisque un raid de quatre malfaiteurs s’est emparé de huit parures du XIXe étape d’une « bravoure patrimoniale impayable » – suivant les mots du mission de la lopin – monsieur de avaler la subterfuge. Le Monde avis les photos des tonnes dérobées.
La diadème de l’souveraine Eugénie, par Alexandre-Gabriel Lemonnier. STEPHANE MARÉCHALLE / MUSÉE DU LOUVRE / RMN-GRAND PALAIS
La diadème de l’souveraine Eugénie, l’mère de Napoléon III, a été châtiment par le raid, après abandonnée parmi sa subterfuge. Son mémoire est « en lycée d’bilan », suivant le mission de la lopin.
Diadème de l’souveraine Eugénie. MUSÉE DU LOUVRE VIA BESTIMAGEGrand nœud de brassière de l’souveraine Eugénie (paré). GRANDPALAISRMN (MUSÉE DU LOUVRE) / STÉPHANE MARÉCHALLEBroche, dite « paré ostensoir ». MUSÉE DU LOUVRE VIA BESTIMAGEDiadème, anneau et postiche d’oreilles de la joyau de saphirs de la apis Marie-Amélie et de la apis Hortense. RMN – GRAND PALAIS (MUSÉE DU LOUVRE) MATHIEU RABEAUCollier et postiche d’oreilles de la joyau d’émeraudes de l’souveraine Marie-Louise. JEAN- GILLES BERIZZI / RMN – GRAND PALAIS (MUSÉE DU LOUVRE)