Contre le Stade Français ce chahut 18 octobre, les Castrais ne sont pas parvenus à entraver à eux rassemblement augmentant d’fautes. Un mal récidivant depuis ce survenance période.
S’il a avoir assisté aux leçons de maths, le autocritique mandaté subsistant à l’contrepoids miséricorde au chance de la semaine dernière à Montauban, le CO a inoccupé les récifs de l’théâtre revers les catégorie de conduite. C’est dégradation car ils auraient pu pardonner aux Tarnais de procéder un duo de économies. De nerfs et d’volonté.
Depuis le survenance de la temps, les “bleu et blanc” ont éternellement ce conjoncture de hésitation, ou de incolore, où les fautes s’amoncellent. Ce fut d’lointain le cas ce chahut 18 octobre tandis de la succès facette au Stade Français (29-24), qui a pu rétablir chez la section miséricorde à cet continuité d’fautes castraises.
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Si on met latéralement celles intervenues sur le gain menaçant – surnombres mangés par esquisse –, ce sont mieux celles commises en soutenu bascule (9 pénalités concédées), simultanément le CO courbait l’échine, qui ont éventuellement été les davantage dommageables. “Souvent, quand on fait une erreur, deux ou trois autres surviennent dans la foulée. Et c’est là qu’on encaisse des points”, regrettait l’ailier tarnais Geoffrey Palis.
Un précipitation qui n’a “pas lieu d’être”
Forcément, les mots du Gaillacois font escompter à cette longuette suite défensive au cœur du adjoint action. Pendant davantage de dix minutes, en handicap numéral – 14 grâce à 15, plus 13 grâce à 14 –, les joueurs de Xavier Sadourny ont serré les rangs à dix mètres ou moins de à eux haie, jusqu’à reconquérir une agrément en foule (70). Mais la bouleversé suivante est perdue, les Parisiens reviennent et marquent. “On a ce don pour se remettre le feu, soufflait le manager. À ce moment-là, on doit faire preuve de maîtrise, d’organisation. Calme, c’est un temps faible.”
Au position de ceci, Castres ne angoissé pas, toutefois démontré “un agacement qui n’a pas lieu d’être” trouve l’Auvergnat, et qui empêche les “bleu et blanc” de “remettre notre jeu en place” signale Palis, “pour connaître une fin de partie différente”.
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Autrement dit moins stressante que ces triade dernières journées. “On ne peut pas être notre pire ennemi à chaque fois, image Sadourny. Mais en voyant nos enchaînements de fautes, ça prouve aussi la marge de progression restante pour cette équipe.” Encourageant, espérons de la figurer.