“Ce n’est même pas une tradition locale” : une Gersoise pertuisane une supplique envers l’élimination de la novillada en France

l’créant
Le 29 septembre inédit, la Gersoise Axelle Clerc-Pellegatta a lancé une supplique en angle envers exécuter décider l’élimination de la novillada en France. Un opposition qu’elle-même mène depuis discordantes années soutenant.

Elle milite envers l’cessation de la novillada. Le 29 septembre inédit, Axelle Clerc-Pellegatta, une Gersoise d’introduction, a lancé une supplique sur le tableau de l’Assemblée nationale envers solliciter l’élimination de la novillada en France. Son loyal : causer l’ténacité des députés et les appuyer à se attraper du amplificateur. “J’ai toujours été engagée pour la cause animale et la protection des animaux”, explique-t-elle nombreux jours alors le jaillissement de l’fantaisie en angle.

Inconnu des corridas aussi pratiquées parmi son préfecture originaire, elle-même dit capital ressenti le indigence de se soulever. “Je trouve ça assez fou. On nous parle de tradition, mais ce n’est même pas une tradition locale”, souligne-t-elle. Dans un primitif époque, la cadet héroïne arrivé tel quel les mobilisations organisées par des globaux anti-corrida gersois. “Je suis allée à Seissan ou à Vic-Fezensac, où les corridas continuent d’avoir lieu”, précise-t-elle. Mais follement subitement, elle-même résolu d’marcher mieux écarté.

Inspirée par d’hétérogènes victoires citoyennes, elle-même évoque spécialement “le succès de la pétition contre la chasse à la glu” ou aussi “la mobilisation autour de la loi Duplomb”. Selon elle-même, ces exemples démontrent que “les Français peuvent se mobiliser efficacement”.

“Essayer de faire quelque chose”

Dans sa allure, Axelle Clerc-Pellegatta reconnaît capital été poussée par le contusion d’harmonie de l’influenceur Jeremstar. Le 19 septembre inédit, continu par mieux de quelques millions de hommes sur Instagram, il avait larvé une novillada à Nîmes en brandissant un linéament montant l’bombage “Fck la corrida”.

“Ça m’a fait me dire : pourquoi ne pas tenter cette méthode-là, à travers une pétition, et voir ce que ça donne. Si ça ne marche pas, tant pis, mais au moins j’aurai essayé de faire quelque chose”, confie-t-elle.

Des solutions envers les professionnels du faubourg ?

La définition rendue le 18 septembre 2025 par la ribambelle administrative d’invective de Toulouse, confirmant l’abolition d’une novillada prévue à Pérols en 2023, a quand renforcé sa impression. “On voit bien que les arènes se remplissent de moins en moins, observe-t-elle. Et lors d’une manifestation, j’ai été marquée par la présence d’enfants assistant à ce type de spectacle.”

Consciente des mises économiques liés à la novillada, la cadet militante juge néanmoins qu’un pourparler doit s’aérer derrière les professionnels du faubourg. “Il y a beaucoup de personnes qui proposent des pistes de reconversion. Pour moi, il faut en discuter. Il ne s’agit pas d’être fermé, mais d’échanger avec les éleveurs et les acteurs de la tauromachie pour trouver ensemble des solutions.”