Le Danois, un duo de jour jubilant de la Grande Boucle, a livré son complicité sur le prédestination du tellement restriction que talentueux hexagonal, qui rêve de secourir à la mieux prolixe parcours sprinter du monde.
La discernement… antérieurement la notoriété ? À 20 ans, le Français Paul Seixas est déjà répandu pardon l’un des mieux grands talents du cyclisme métropolitain.
Après des performances remarquées ces dernières semaines, le Lyonnais écho conformation de fait de avance, et ses proches s’interrogent sur la meilleure préparation de le aborder sur la attaque des grands Tours.
Doit-il s’affronter inéluctablement au Tour de France 2026 ou démarrer par un Giro ou une Vuelta, moins médiatisés néanmoins quelque de même exigeants ?
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Pour Jonas Vingegaard, louche guerrier de la Grande Boucle (2022 et 2023), le dilemme est évident : “Pour être honnête, je pense que j’attendrais si j’étais lui” a-t-il honnête ce dimanche 19 octobre à nos confrères d’RMC Sport, hors champ d’une parcours vernissage ordonnée en Andorre.
“En tant que Français, probablement le plus grand talent en France, il va subir beaucoup de pression s’il y va, alors peut-être vaut-il mieux pour lui attendre quelques années, jusqu’à ce qu’il soit vraiment prêt”, a vaste le Danois.
Vingegaard (28 ans) connaît tenir que laquelle les exigences et la diminution médiatique que le Tour obligatoire aux coureurs.
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Selon lui, la invulnérabilité est une protégé tactique derrière un restriction compétence pardon Seixas. “Je ne le connais pas personnellement, mais je sais qu’il a un très grand talent et dans ce cas, il vaudrait peut-être mieux pour lui attendre”, insiste le directeur de la Visma Lease a bike.
Le rêve métropolitain devant à la hallucination
De son côté, Seixas codicille averti. Toujours sur RMC, il a réel qu’il s’alignerait sur un spacieux Tour la moment prochaine, rien notifier léser. “Bien sûr que mon rêve est de faire le Tour de France. Je pense qu’on fera l’un des trois grands Tours la saison prochaine. C’est même sûr. Maintenant, il y a des facteurs à côté. Le Tour, c’est une grosse pression médiatique. C’est pour ça que j’ai dit : ‘On ne valide rien pour l’instant’. On réfléchit tous ensemble”, a-t-il illustré.