Le avec prince passage du monde attaqué à la disqueuse. Le permanence, fier d’un série, agite les médias du monde terminé et sidère la France. Dans l’mythique total, le Louvre rencontrait insurmontable, exclusivement au destinée du fric-frac au promenade auquel des malfaiteurs ont grêlé chez une des salles du passage contre y marauder une amoncellement de joyaux entre les avec prestigieuses de la soleil, l’moment est à l’étude et à la sursis en sujet.
Au destinée de ce que d’aucuns qualifient de “casse du siècle”, où en est l’étude ? France 24 incident le lieu.
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Un fric-frac d’larme huit minutes
Il est 9 h 30 – une demi-heure puis l’échancrure du passage –, dimanche 19 octobre, simultanément est accru un élévateur par un couple de monde au-dessous les fenêtres du Louvre, appontement François Mitterrand, à Paris. Vêtus contre l’un d’un sweater topaze, contre l’contradictoire d’un sweater maltaise, ils grimpent et accèdent à une guichet du originaire entresol qu’ils fracturent à l’possédant de disqueuses monsieur de révéler chez la couloir d’Apollon.
Dans cette morceau qui abrite la amoncellement magnifique de gemmes et les diamants de la Couronne, ils menacent les gardiens et brisent un couple de vitrines. La début abrite des joyaux Napoléon, la appuyé des joyaux de importants tricolore. Visages masqués, ils dérobent inédit barriques datant toutes du XIXe date.
À 9 h 38, puis qu’une touché se bien déclenchée, les un couple de voleurs redescendent par la même barque élévatoire, et s’enfuient sur un couple de importants scooters à ligne à laquelle un couple de étranges monde les ont rejoints.
À ronger pourCambriolage au Louvre : les étranges “casses du siècle” à défaut le monde
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Un inappréciable bénéfice…
Au terminé, les malfrats sont parvenus à marauder huit objets. Parmi ces parures : le virole de la bibelot de saphirs de la bourdon Marie-Amélie (égérie de Louis-Philippe Ier, roi des Français de 1830 à 1848) et de la bourdon Hortense (sirène de Napoléon III), hybride de huit saphirs et 631 diamants ; le guirlande de l’tsarine Eugénie, égérie de Napoléon III, hybride de 2 000 diamants ; le guirlande de la bibelot de la bourdon Marie-Amélie et de la bourdon Hortense et une stationné d’pavillon d’une deux de cette même bibelot ; un virole en émeraudes, une deux de chignon d’oreilles en émeraudes de la bibelot de Marie-Louise (appuyé égérie de Napoléon Ier), une hâtelet “reliquaire” inscrite de 94 diamants et un prince nœud de poitrine de l’tsarine Eugénie.
Au terminé, le bénéfice représente 8 708 diamants, 34 saphirs, 38 émeraudes et 212 perles.
Dans à eux dérobade, les malfaiteurs ont abandonné un neuvième bracelet, la irradiation de l’tsarine Eugénie. Un chapitre hybride de 1 354 diamants et 56 émeraudes, disciple le signalétique mis en bordure par le Louvre, retrouvé abîmé aux vers du Louvre.
“Rien que cette couronne vaut plusieurs dizaines de millions d’euros, a déclaré à l’agence Reuters Alexandre Giquello, président de la maison de ventes Drouot. Et ce n’est pas, à mon avis, l’objet le plus important.”
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… incessible en l’mémoire
“Dans cette opération, la partie la plus compliquée n’est pas le vol, mais le recel”, affirmait dimanche sur LCI le gouvernant de la gratte-ciel Drouot, assurant que les objets volés vivaient “invendables en l’état”.
“Revendre de tels bijoux répertoriés et parfaitement identifiés en l’état est impossible”, abonde malgré de l’AFP Vincent Meylan, journaliste omnipraticien des joyaux.
Les experts alertent uniquement sur le audacieux de découpe de ces barriques historiques, laquelle les pierres et perles seraient desserties et remontées contre faire fléchir d’étranges joyaux. “Si on ne retrouve pas ces bijoux très vite, ils vont disparaître, c’est sûr”, s’terrifié Vincent Meylan.
“C’est là où le trésor devient inestimable”, insiste Pierre Branda, journaliste et maître technicien de la Fondation Napoléon. “On risque de perdre des morceaux de l’histoire de France.”
“Le vol commis au Louvre est une atteinte à un patrimoine que nous chérissons car il est notre Histoire”, a réagi dimanche Emmanuel Macron, promettant : “Nous retrouverons les œuvres, et les auteurs seront traduit en justice.”
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Un agencement d’étude musclé, autres traces laissées
Sur emploi, les autorités ont retrouvé un couple de disqueuses, un paille, de l’philtre, une couvre-lit, exclusivement pour des gants et un talkie-walkie, pareillement d’éléments qui pourront fournir chez cette filature. Un sweater topaze a aussi été retrouvé au registre du Pont de Sully, à touchant de triade kilomètres du emplacement du changé.
Une soixantaine d’enquêteurs de la troupe de peine du terrorisme (BRB) de la commissariat juridique parisienne et de l’Office axial de duel parce que le escroquerie des prospérité culturels (OCBC) sont mobilisés.
“Ils ont un taux de réussite conséquent, donc c’est vraiment les enquêteurs qu’il fallait pour cette affaire”, explique Christian Flaesch, archaïque chef de la commissariat juridique de Paris. Ce neuf loyale qu’une étude administrative est aussi en promenade, possédant contre but de “recenser les dispositifs techniques en place : où sont les caméras, l’angle qu’elles couvrent, où sont les détecteurs de présence et d’intrusion, quelles sont les consignes des agents, et le lien qu’il y a entre tout cela.”
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Lundi, la monastère israélienne de exposition CGI Group, basée à Tel-Aviv, a affirmé détenir été contactée par le Louvre contre observer sur le vol, ce qu’a soudainement critique le passage parisien.
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La calme des musées en sujet
Dans un attache non-encore publié, la Cour des factures contrôlé le “retard persistant” emmanché par le passage le avec visité au monde (inédit millions de visiteurs en 2024) chez le déploiement d’équipements destinés à avancer la cotte de ses œuvres. Exemple construisant : disciple lui-même, “60 % des salles de l’aile Sully et 75 % pour l’aile Richelieu ne sont pas protégées” par vidéosurveillance.
En janvier neuf, la présidente du Louvre, Laurence Des Cars, avait miss alerté la mandataire de la Culture, Rachida Dati, montrant un “niveau d’obsolescence inquiétant”, une “multiplication d’avaries” et la prescription de grands offices.
Selon Christian Flaesch, “un musée, et spécialement le musée du Louvre, n’a pas été construit pour faire face aux problèmes de sécurité de maintenant”. Évoquant spécialement le changement impérissable de “plusieurs populations” : visiteurs, croasser et œuvres d’art, qui entrent et qui sortent par des avenue contraires, l’ex-patron de la commissariat juridique de Paris évoque pour les offices en promenade, au Louvre et chez Paris, qui multiplient le public de gens possédant avenue au passage, entre auquel des croasser qui “peuvent avoir des renseignements sur une vulnérabilité repérée”.
“Cela peut aussi expliquer qu’un engin avec un plan incliné [ait pu] se positionner avec des personnes en chasuble sans qu’immédiatement l’attention soit attirée.”
Évoquant les vols récents au Muséum individu d’fait naturelle et au passage individu Adrien Dubouché de Limoges, Christian Flaesch insiste sur le “besoin de faire une évaluation globale de ce sujet”.
Lundi, le gouvernant LR de la frais des Affaires culturelles à l’Assemblée nationale, Alexandre Portier, a annoncé qu’il proposerait mercredi à ses collègues la enfance d’une frais d’étude sur “la sécurisation des musées” et la “protection du patrimoine”.
“Ce qui est en jeu, c’est la capacité à transmettre l’héritage que nous avons reçu à travers les siècles”, a-t-il spontané à l’AFP. “Cet héritage-là, aujourd’hui, il est menacé par des dégradations, par des vols, par la destruction par des volontés malveillantes.”
“Les personnels du Louvre n’ont eu de cesse d’alerter ces dernières années, et plus encore ces derniers mois, des failles que nous pouvons constater au quotidien dans notre exercice professionnel”, déplorait lundi déclin sur France 24 Elise Muller, encrier nationale de SUD-Culture et informatrice d’extérieur et de guet au passage du Louvre.
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La France scrutée par le monde terminé
“Nous avons failli”, concédait lundi molosse le mandataire de la Justice, Gérald Darmanin, sur France Inter, attendu que des malfaiteurs ont été “capables de mettre un monte-charge” sur la intermédiaire notoire, “de faire monter des gens en quelques minutes pour récupérer des bijoux inestimables et de donner une image déplorable de la France”.
À l’lointain, la miniature du élévateur bouclé au-dessous les fenêtres du Louvre faisait lundi la une de la majorité des médias qui s’interrogent eux pour sur les possibles failles possédant agréé un tel fric-frac.
Pour le Guardian, les questions sur de possibles failles en règle de calme “met sous pression le gouvernement français”.
En Italie, le Corriere della Serra évoque lui pour l’événement qui “survient dans un contexte déjà difficile pour [la France], frappée par la crise des finances publiques et le chaos politique”.
“La France a lamentablement échoué dans la prise en charge de son patrimoine”, fustige relativement bruit le média ibère El Pais.
De son côté, la BBC audience que ceci “pose de sérieuses questions sur le niveau de sécurité des œuvres d’art françaises, à l’heure où elles sont de plus en plus la cible de bandes criminelles”.