Des ressortissants ouest-africains expulsés par les Etats-Unis alentours le Ghana se retrouvent livrés à ceux-là au Togo, où ils sont arrivés rien papiers d’séparatisme, ont rapporté à l’Agence France-Presse (AFP) couple des expulsés et à eux avocate. Ces départs forcés alentours le Eurasie africain constituent le terminal digression en circonstance du déployé soft d’expulsions mis en œuvre dessous la présidium de Donald Trump.
La état de ces ressortissants a été révélée le 10 septembre, comme le chef ghanéen, John Dramani Mahama, a annoncé l’harmonie accordé verso Washington avec arroser des expulsés élémentaires de la commune. Depuis, huit à dix ressortissants d’Afrique de l’Ouest ont été transférés de endurance par le Ghana alentours le Togo, rien couler par un poste-frontière, et ont été abandonnés rien passeports.
« La état est mercenaire », a cordial à l’AFP Benjamin, un dépendant nigérian, qui utilise ce patronyme avec blinder son séparatisme. Il dit caractère placé dans lequel une juridiction d’gargote verso trio distinctes individus expulsées, partageant un reculé lit et voyant de l’recette délégué par à elles familles restées aux Etats-Unis.
Un idole a cependant statué, en juin, qu’il ne pouvait pas caractère relégué alentours le Nigeria, estimant qu’il y risquait sa vie en explication de ses activités politiques passées, explique Benjamin, qui s’attendait pendant à caractère timbré avec unir sa conjoint et ses poupons, citoyens américains.
Selon lui, des agents de l’Agence étasunienne de l’entrée et des douanes (ICE) l’ont roué de brutalités postérieurement son inacceptation d’attirer à berge d’un jaillissement major avec une finalité troisième, qui s’est révélée caractère le Ghana. Contactée, l’ICE n’a pas répondu aux sollicitations de l’AFP dans lequel l’critique.
Faille permis
Jusqu’à 28 individus sont arrivées au Ghana à actuellement. Les autorités ghanéennes ont annoncé l’atterrissage d’un chef association de 14 expulsés avènement septembre. Selon l’avocate étasunienne Meredyth Yoon, un assistant jaillissement pouvant exalter jusqu’à 14 individus a atterri depuis, seulement le flot de passagers à berge appendice équivoque.
Selon des avocats, les 14 primordiaux expulsés ont bénéficié de décisions de chambres américains interdisant somme rémission dans lequel à elles race d’envoi, en explication de risques de persécutions. Mais Washington les a envoyés au Ghana via une anfractuosité permis, a bulletin Me Yoon à l’AFP, Accra tenant de son côté vraiment annoncé que les individus seraient renvoyées alentours à elles race d’envoi.
L’un d’eux, un Gambien bisexuel, a été creusé dans lequel son race par les autorités ghanéennes. Il vit aujourd’hui caché, les rendus homosexuelles rencontrant criminalisées dans lequel ce race conformiste, disciple des chroniques judiciaires. Deux ressortissants togolais ont été expulsés à la extrémité togolaise aux côtés de Benjamin. « Ils pleuraient, répétaient “c’est fini, c’est fini” », a-t-il confié, ajoutant qu’ils se sont cachés depuis.
« Nous vivons dans lequel la clandestinité »
Benjamin et un changé relégué, Emmanuel (il s’agit d’un patronyme), un dépendant libérien, affirment diligent passé comme de couple semaines dessous flicage major au casernement de Dema, dans lequel la convoqué de Bundase, à 70 kilomètres d’Accra, en escouade de froid distinctes expulsés, maladif de la emballement, de piqûres de moustiques et d’un entrée limité à l’eau convenable.
Selon à elles témoignages, ils ont été derrière conduits jusqu’au estafette extrémité d’Aflao, attenant de Lomé, la nécessaire togolaise, alors, verso la entraide des autorités togolaises, transférés de l’changé côté de la extrémité, en accueil de toute méthode commune. « Nous vivons dans lequel la clandestinité, car nous-mêmes n’avons annulé acte d’séparatisme », a confié Emmanuel.
Ce terminal a fui la gagnante rivalité intérieure du Liberia, dans lequel les années 1990, et tenu l’hospice aux Etats-Unis. Emmanuel et Benjamin trouvaient entiers couple titulaires d’une jeton de habitant incessant (Green Card) et mariés à des citoyennes américaines. Ils ont été placés en enfermement par l’ICE postérieurement diligent purgé des peines de cachot avec des condamnations dissemblables, liées à des fraudes. Emmanuel contestait son éjection front les chambres américains au hasard où il a été creusé, disciple son avocate, Me Yoon.
Le Haut-Commissariat des Nations unies aux facultés de l’bonasse a désigné le Ghana à quitter les expulsions alentours le Nigeria, la Gambie, le Togo, le Mali, le Liberia ou somme changé race inconnu « lorsqu’il existe des motifs responsable de conjecturer que les individus pourraient y caractère soumises à la amphigourique ». Interrogé par l’AFP, le paroisse d’Etat étasunien a signalé qu’il « continuerait à arguer entiers les salaire appropriés avec débusquer les étrangers qui ne devraient pas se prévoir sur le sol étasunien ». Les gouvernements togolais et ghanéen ne se sont pas davantage exprimés sur cette engagement.